En effet, selon le document, cette progression s’explique par le renchérissement des « produis alimentaires et boissons non alcoolisées » (+2,9%), du transport (+2,3%), des « meubles, articles de ménages et entretiens courants du foyer » (+2,9%).
Toutefois, le Dpbep dont la première édition, pour cette année, date de juin dernier et l’actualisation ce mois d’octobre, indique que l’inflation s’est maintenue en deçà du seuil communautaire de 3,0%, retenu dans le cadre de la surveillance multilatérale au sein de l’Uemoa. Les prix à la production, mesurés par le déflateur du Pib, ont cru de 2,4% en 2021 contre 1,5% un an plutôt.
L’économie sénégalaise a enregistré des gains de compétitivité vis-à-vis de de ses partenaires commerciaux durant l’exercice 2021, estimés à 0,4%, relève la même source. Laquelle ajoute que ces gains sont imputables au différentiel d’inflation favorable (-2,5%), amoindris, cependant par l’appréciation du FCFA par rapport à la monnaie des pays partenaires (+2,1%).
Globalement à fin 2021, le Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (Dpbep) 2023-2025 » renseigne enfin que la pression fiscale est ressortie à 16,9% du Pib contre 16,7% un an auparavant, soit une légère augmentation de 0,2 point de pourcentage.
Bassirou MBAYE
Toutefois, le Dpbep dont la première édition, pour cette année, date de juin dernier et l’actualisation ce mois d’octobre, indique que l’inflation s’est maintenue en deçà du seuil communautaire de 3,0%, retenu dans le cadre de la surveillance multilatérale au sein de l’Uemoa. Les prix à la production, mesurés par le déflateur du Pib, ont cru de 2,4% en 2021 contre 1,5% un an plutôt.
L’économie sénégalaise a enregistré des gains de compétitivité vis-à-vis de de ses partenaires commerciaux durant l’exercice 2021, estimés à 0,4%, relève la même source. Laquelle ajoute que ces gains sont imputables au différentiel d’inflation favorable (-2,5%), amoindris, cependant par l’appréciation du FCFA par rapport à la monnaie des pays partenaires (+2,1%).
Globalement à fin 2021, le Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (Dpbep) 2023-2025 » renseigne enfin que la pression fiscale est ressortie à 16,9% du Pib contre 16,7% un an auparavant, soit une légère augmentation de 0,2 point de pourcentage.
Bassirou MBAYE