Cette hausse traduit la progression des intérêts sur la dette publique et des dépenses d’investissement, atténuée, toutefois, par la baisse des dépenses de fonctionnement. En effet, les intérêts sur la dette publique (88,8 milliards) et les dépenses en capital (280,7 milliards) ont progressé respectivement de 47,3 milliards (+113,8%) et 8,8 milliards (+3,2%).
Toutefois, note la Dpee, ces augmentations ont été amoindries par les « autres dépenses courantes » qui se sont contractées de 13,3 milliards pour s’établir à 222,1 milliards à fin février 2021. S’agissant de la masse salariale, elle a enregistré une progression modérée de 0,9 milliard pour se situer à 140,8 milliards à fin février 2021.
Concernant la hausse des investissements, elle est imputable aux investissements financés sur ressources extérieures estimés à 151,9 milliards et qui se sont confortés de 42,3% sur la période.
Quant aux investissements financés sur ressources internes, évalués à hauteur de 128,8 milliards, ils ont enregistré une baisse de 22% par rapport à la même période de 2020.
Oumar Nourou
Toutefois, note la Dpee, ces augmentations ont été amoindries par les « autres dépenses courantes » qui se sont contractées de 13,3 milliards pour s’établir à 222,1 milliards à fin février 2021. S’agissant de la masse salariale, elle a enregistré une progression modérée de 0,9 milliard pour se situer à 140,8 milliards à fin février 2021.
Concernant la hausse des investissements, elle est imputable aux investissements financés sur ressources extérieures estimés à 151,9 milliards et qui se sont confortés de 42,3% sur la période.
Quant aux investissements financés sur ressources internes, évalués à hauteur de 128,8 milliards, ils ont enregistré une baisse de 22% par rapport à la même période de 2020.
Oumar Nourou