chroniques
Il présidait l’ouverture de la conférence régionale de haut niveau organisée par la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) en collaboration avec le Fonds monétaire international (FMI) sur le thème « Finance pour tous : promouvoir l’inclusion financière en Afrique de l’Ouest ».
Selon le ministre, le gouvernement a pris dans ce sens des textes visant à favoriser la bancarisation et les transactions électroniques dont la loi consacrant l’équivalence entre dossiers électroniques et documents papiers, la domiciliation obligatoire dans les banques des salaires et revenus des agents de l’Etat supérieurs ou égaux à 100.000 FCFA.
« Par ailleurs, souligne M. Bâ, d’autres mesures ont été prises par les autorités sénégalaises afin de promouvoir les paiements électroniques au niveau des services de l’Etat, notamment les paiements de type gouvernement à personne (G2P) ». Ces mesures sont entre autres, selon lui, la mise en place d’un système de paiement électronique des droits et taxes assimilées au niveau de la douane, l’introduction du système de télépaiement dans le paiement des impôts, droits, taxes et redevances, le projet de mise en place d’une plateforme monétique par la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor en vue de la digitalisation du paiement des pensions de retraite des agents de l’Etat et d’autres transferts du gouvernement comme les bourses de sécurité familiale.
Le ministre des finances a aussi mis en exergue l’externalisation du paiement des bourses des étudiants au niveau du système bancaire permettant ainsi « à plusieurs dizaines de milliers d’étudiants d’être payés au niveau des guichets automatiques de banques ».
Au plan sous régional, le président du conseil des ministres de l’UEMOA, a également souligné quelques réformes en matière d’inclusion financière. C’est, selon lui, conscientes de ses enjeux sur le développement de la sous-région que les autorités monétaires de l’UEMOA ont mis en œuvre ces dernières années ces réformes.
« Il s’agit principalement des modification intervenues dans la réglementation, des systèmes financiers décentralisés (SFD), de la monnaie électronique, des systèmes et moyens de paiements, le partage de l’information financière avec la mise en place de Bureau d’information sur le crédit (BIC) et de la gratuité de certains services bancaire », a laissé entendre M. Bâ.
El Hadj Diakhaté
Selon le ministre, le gouvernement a pris dans ce sens des textes visant à favoriser la bancarisation et les transactions électroniques dont la loi consacrant l’équivalence entre dossiers électroniques et documents papiers, la domiciliation obligatoire dans les banques des salaires et revenus des agents de l’Etat supérieurs ou égaux à 100.000 FCFA.
« Par ailleurs, souligne M. Bâ, d’autres mesures ont été prises par les autorités sénégalaises afin de promouvoir les paiements électroniques au niveau des services de l’Etat, notamment les paiements de type gouvernement à personne (G2P) ». Ces mesures sont entre autres, selon lui, la mise en place d’un système de paiement électronique des droits et taxes assimilées au niveau de la douane, l’introduction du système de télépaiement dans le paiement des impôts, droits, taxes et redevances, le projet de mise en place d’une plateforme monétique par la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor en vue de la digitalisation du paiement des pensions de retraite des agents de l’Etat et d’autres transferts du gouvernement comme les bourses de sécurité familiale.
Le ministre des finances a aussi mis en exergue l’externalisation du paiement des bourses des étudiants au niveau du système bancaire permettant ainsi « à plusieurs dizaines de milliers d’étudiants d’être payés au niveau des guichets automatiques de banques ».
Au plan sous régional, le président du conseil des ministres de l’UEMOA, a également souligné quelques réformes en matière d’inclusion financière. C’est, selon lui, conscientes de ses enjeux sur le développement de la sous-région que les autorités monétaires de l’UEMOA ont mis en œuvre ces dernières années ces réformes.
« Il s’agit principalement des modification intervenues dans la réglementation, des systèmes financiers décentralisés (SFD), de la monnaie électronique, des systèmes et moyens de paiements, le partage de l’information financière avec la mise en place de Bureau d’information sur le crédit (BIC) et de la gratuité de certains services bancaire », a laissé entendre M. Bâ.
El Hadj Diakhaté
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
