C’était lors d’une journée de réflexion qui avait créé les conditions d’un face-à-face entre les membres de cette dernière organisation et leur ministre de tutelle, M. Abdoulaye Bibi Baldé.
Selon M. Ngom, le secteur privé des Tic doit prendre beaucoup d’initiatives et indiquer au public la voie à suivre pour ce secteur puisse jouer pleinement son rôle dans l’économie du pays. A son avis, OPTIC qui vient de capitaliser 14 ans d’existence doit être en mesure de jouer les premiers rôles dans cette dynamique.
Pour y parvenir, le président d’OPTIC a listé une kyrielle de goulots d’étranglement à résoudre au préalable. D’après lui, les autorités doivent trouver une solution définitive pour le dossier Tigo qui au centre d’une confrontation entre MILLICOM et WARI.
Le privé des TIC aimeraient également voir la part réservée au numérique dans le fonds du service universel passer de 20 à 80%, comme l’avait instruit le président de la République. Pour y arriver, M. Ngom estime que c’est la gouvernance de ce fonds qui devrait être remis à plat.
Sur cette lancée, le privé des TIC souhaite la mise en place d’un observatoire de la commande publique pour l’ouvrir aux entreprises sénégalaises.
Compte tenu des ambitions que s’est fixé le Sénégal pour parvenir à la transformation digitale du pays, les membres d’OPTIC recommandent le renforcement des capacités de leur ministère de tutelle.
Dans cette dynamique, ils recommandent la mise en place d’un comité de pilotage pour la Stratégie Sénégal 2025, débuter enfin un canal de dialogue avec le régulateur qu’est l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp).
La responsabilité du secteur privé dans cette nouvelle dynamique n’a pas été occultée. Selon M. Ngom, le secteur privé gagnerait à se rassembler pour être plus devant les défis qui l’interpellent.
Des interpellations qui ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd. Le ministre en chargé du secteur qui a religieusement réceptionné les recommandations du secteur privé rappelle la place importante qu’occupe le numérique dans le Plan Sénégal Emergent (Pse) avec l’ambition de porter sa part dans le PIB à 10%, à l’horizon 2025.
En plus, avec la Stratégie Sénégal 2025, l’objectif est de porter à plus de 12% la contribution du secteur numérique aux recettes budgétaires de l’Etat.
Pour parvenir à un environnement favorable pour l’expansion du secteur, M. Baldé juge nécessaire la mise en place d’un cadre juridique et institutionnel adéquat. A cela, il y a ajoute des mécanismes financiers adaptés, une fiscalité assouplie, la mise en place d’unité de production d’outils en TIC…
Mariama Diallo
Selon M. Ngom, le secteur privé des Tic doit prendre beaucoup d’initiatives et indiquer au public la voie à suivre pour ce secteur puisse jouer pleinement son rôle dans l’économie du pays. A son avis, OPTIC qui vient de capitaliser 14 ans d’existence doit être en mesure de jouer les premiers rôles dans cette dynamique.
Pour y parvenir, le président d’OPTIC a listé une kyrielle de goulots d’étranglement à résoudre au préalable. D’après lui, les autorités doivent trouver une solution définitive pour le dossier Tigo qui au centre d’une confrontation entre MILLICOM et WARI.
Le privé des TIC aimeraient également voir la part réservée au numérique dans le fonds du service universel passer de 20 à 80%, comme l’avait instruit le président de la République. Pour y arriver, M. Ngom estime que c’est la gouvernance de ce fonds qui devrait être remis à plat.
Sur cette lancée, le privé des TIC souhaite la mise en place d’un observatoire de la commande publique pour l’ouvrir aux entreprises sénégalaises.
Compte tenu des ambitions que s’est fixé le Sénégal pour parvenir à la transformation digitale du pays, les membres d’OPTIC recommandent le renforcement des capacités de leur ministère de tutelle.
Dans cette dynamique, ils recommandent la mise en place d’un comité de pilotage pour la Stratégie Sénégal 2025, débuter enfin un canal de dialogue avec le régulateur qu’est l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp).
La responsabilité du secteur privé dans cette nouvelle dynamique n’a pas été occultée. Selon M. Ngom, le secteur privé gagnerait à se rassembler pour être plus devant les défis qui l’interpellent.
Des interpellations qui ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd. Le ministre en chargé du secteur qui a religieusement réceptionné les recommandations du secteur privé rappelle la place importante qu’occupe le numérique dans le Plan Sénégal Emergent (Pse) avec l’ambition de porter sa part dans le PIB à 10%, à l’horizon 2025.
En plus, avec la Stratégie Sénégal 2025, l’objectif est de porter à plus de 12% la contribution du secteur numérique aux recettes budgétaires de l’Etat.
Pour parvenir à un environnement favorable pour l’expansion du secteur, M. Baldé juge nécessaire la mise en place d’un cadre juridique et institutionnel adéquat. A cela, il y a ajoute des mécanismes financiers adaptés, une fiscalité assouplie, la mise en place d’unité de production d’outils en TIC…
Mariama Diallo