« Le travail des enfants est une question qui se pose au niveau international et c’est en Afrique que l’on trouve le plus d’enfants travailleurs. Cependant les dernières statistiques de 2008 à 2012 montre une baisse de 30% passant de 215 millions d’enfants travailleurs à l’échelle mondial à 168 millions en 2012 » a ajouté le coordonnateur de la cellule de lutte contre le travail des enfants.
Ibra ndoye s’exprimait en marge d’un atelier de redynamisation du comité intersectoriel régional de lutte contre le travail des enfants.
« En ce qui concerne le Sénégal, il faut dire qu’en 1999-2000 les conventions fondamentales de l’organisation internationale du travail notamment la convention 138 sur l’âge minimum d’accès à l’emploi et la convention 182 sur les pires formes de travail des enfants ont été adoptées .Il faut dire aussi que le cadre juridique sénégalais a été mis en conformité par rapport aux dispositions de ces conventions » a souligné M.Ndoye.
« À cette date le Sénégal respecte ces engagements car le projet d’appui à la mise en place de projets assortis de délais a été expérimenté au Sénégal », a-t-il noté.
« C’est dans ce contexte que l’élaboration et la formulation de nos documents de politiques nationales ont été lancé et cela a abouti sur l’adoption politique en novembre 2012 dernier du plan de lutte contre le travail des enfants étant le document sur lequel l’Etat du Sénégal entend s’engager pour mener toutes les actions qui permettrons de lutter contres les pires formes de travails des enfants à l’horizon 2016 ».
« La réponse nationale donc est là avec ce document de politique nationale, le plan cadre a été lancé il y’a juste un an avec son plan d’action et son budget « ajoute M.Ndoye.
« Des actions vont être entreprises par rapport aux cinq axes stratégiques de ce document qui ont été identifiées à savoir l’appropriation nationale de la lutte contre le travail des enfants , la prévention du travail des enfants par l’offre éducative et de formation , la lutte contre les pires formes de travail des enfants , le renforcement et l’application du cadre juridique enfin le renforcement de mécanismes institutionnels de coopération » a conclut Ibra ndoye coordonnateur de la cellule de lutte contre le travail des enfants.
Ndeye Maguette Kébé
Ibra ndoye s’exprimait en marge d’un atelier de redynamisation du comité intersectoriel régional de lutte contre le travail des enfants.
« En ce qui concerne le Sénégal, il faut dire qu’en 1999-2000 les conventions fondamentales de l’organisation internationale du travail notamment la convention 138 sur l’âge minimum d’accès à l’emploi et la convention 182 sur les pires formes de travail des enfants ont été adoptées .Il faut dire aussi que le cadre juridique sénégalais a été mis en conformité par rapport aux dispositions de ces conventions » a souligné M.Ndoye.
« À cette date le Sénégal respecte ces engagements car le projet d’appui à la mise en place de projets assortis de délais a été expérimenté au Sénégal », a-t-il noté.
« C’est dans ce contexte que l’élaboration et la formulation de nos documents de politiques nationales ont été lancé et cela a abouti sur l’adoption politique en novembre 2012 dernier du plan de lutte contre le travail des enfants étant le document sur lequel l’Etat du Sénégal entend s’engager pour mener toutes les actions qui permettrons de lutter contres les pires formes de travails des enfants à l’horizon 2016 ».
« La réponse nationale donc est là avec ce document de politique nationale, le plan cadre a été lancé il y’a juste un an avec son plan d’action et son budget « ajoute M.Ndoye.
« Des actions vont être entreprises par rapport aux cinq axes stratégiques de ce document qui ont été identifiées à savoir l’appropriation nationale de la lutte contre le travail des enfants , la prévention du travail des enfants par l’offre éducative et de formation , la lutte contre les pires formes de travail des enfants , le renforcement et l’application du cadre juridique enfin le renforcement de mécanismes institutionnels de coopération » a conclut Ibra ndoye coordonnateur de la cellule de lutte contre le travail des enfants.
Ndeye Maguette Kébé