Le thème qui a été choisi est axé sur le sujet « Le numérique au service d’une administration performante : enjeux et défis pour les douanes ».
« Le contexte actuel est marqué par des faits qui ont pour noms : une économie mondialisée, une augmentation du volume des opérations commerciales, les exigences de célérités attachées auxdites opérations, la pression des objectifs de recettes de plus en plus élevés avec des délais serrés, des moyens insuffisants et des effectifs en constante réduction », a souligné estimé M Gningue. Il a également relevé la criminalité transnationale organisée et les grands trafics en constante progression (contrefaçon, trafics de drogues, d’armes ou terrorisme).
Selon M. Gningue, jusqu’à une date récente la douane avait pris le pari d’opérer par des procédures aussi contraignantes que couteuses. C’est le cas du manifeste papier volumineux édité en près de 20 exemplaires au profit des principaux acteurs de la chaîne de dédouanement, du parcours du combattant pour le déclarant qui devait réunir tous les documents requis avant le dépôt de la déclaration en douane. « Aujourd’hui, finies les lourdeurs inutiles. Grâce au système ORBUS, plateforme électronique de collecte en ligne de données, l’ensemble des documents préalables au dédouanement peuvent être réunis et transmis par voie électronique», affirme-t-il. Il signale en outre que la dématérialisation a rendu possible l’accès au manifeste ainsi que le dépôt de la déclaration bien avant l’arrivée du navire à quai, ouvrant ainsi la voie au dédouanement sans papier.
En dépit des bienfaits de la technologie, le DG de la douane estime qu’il ne faut pas s’auto glorifier et s’en arrêter là. Il justifie ses propos par le fait que « la technologie évolue vite et nous devons, pour plus de performance, nous investir dans les dernières générations ». C’est tout l’intérêt, selon lui du forum qui donne à la douane l’occasion d’échanger, de partager et de s’imprégner des choix les plus adaptés lui permettant de tirer profit des technologies au grand bénéfice de nos économies et des populations.
El Hadj Diakhaté
« Le contexte actuel est marqué par des faits qui ont pour noms : une économie mondialisée, une augmentation du volume des opérations commerciales, les exigences de célérités attachées auxdites opérations, la pression des objectifs de recettes de plus en plus élevés avec des délais serrés, des moyens insuffisants et des effectifs en constante réduction », a souligné estimé M Gningue. Il a également relevé la criminalité transnationale organisée et les grands trafics en constante progression (contrefaçon, trafics de drogues, d’armes ou terrorisme).
Selon M. Gningue, jusqu’à une date récente la douane avait pris le pari d’opérer par des procédures aussi contraignantes que couteuses. C’est le cas du manifeste papier volumineux édité en près de 20 exemplaires au profit des principaux acteurs de la chaîne de dédouanement, du parcours du combattant pour le déclarant qui devait réunir tous les documents requis avant le dépôt de la déclaration en douane. « Aujourd’hui, finies les lourdeurs inutiles. Grâce au système ORBUS, plateforme électronique de collecte en ligne de données, l’ensemble des documents préalables au dédouanement peuvent être réunis et transmis par voie électronique», affirme-t-il. Il signale en outre que la dématérialisation a rendu possible l’accès au manifeste ainsi que le dépôt de la déclaration bien avant l’arrivée du navire à quai, ouvrant ainsi la voie au dédouanement sans papier.
En dépit des bienfaits de la technologie, le DG de la douane estime qu’il ne faut pas s’auto glorifier et s’en arrêter là. Il justifie ses propos par le fait que « la technologie évolue vite et nous devons, pour plus de performance, nous investir dans les dernières générations ». C’est tout l’intérêt, selon lui du forum qui donne à la douane l’occasion d’échanger, de partager et de s’imprégner des choix les plus adaptés lui permettant de tirer profit des technologies au grand bénéfice de nos économies et des populations.
El Hadj Diakhaté