Le directeur du Cesti a souligné qu’ils ont travaillé, depuis 2019, dans le cadre de ce programme qui va durer six (06) mois mais la Covid-19 a retardé les choses. Mamadou Ndiaye a, dans la foulée, confié que 75 candidatures ont été reçues à travers la plateforme d’inscription en ligne.
A noter qu’en plus d’assister à tous les blocs d’étude, les participants devront effectuer des évaluations avant et après le programme, et soumettre et réussir tous les devoirs requis pour obtenir le certificat.
Dans ce sens, le directeur du Cesti a beaucoup insisté sur l’assiduité des candidats retenus et qui sont appelés à assister à tous les cours.
La valeur du programme est supérieure à 26,580 USD, mais grâce au soutien de la fondation Bloomberg Philanthropies et de la fondation Stavros Niarchos, chaque candidat retenu bénéficiera d’une bourse d’études.
Les bourses couvrent les frais de scolarité, les documents de cours, le déjeuner et les rafraîchissements.
Les personnes ayant obtenu une bourse devront s’acquitter de frais d’inscription d’un montant de 250 USD et devront prendre en charge leur transport et leur hébergement.
Les candidats qui souhaitent être exemptés des frais d’inscription sont invités à contacter le responsable du programme dans leur pays, sachant que la Côte d’Ivoire et le Sénégal ont été choisis pour dérouler la formation faite en Afrique de l’Ouest.
La rédactrice principale de Bloomberg a indiqué que le programme de formation au journalisme financier va offrir des opportunités aux candidats qui seront retenus en matière, notamment, de maîtrise des termes et concepts liés à la finance et à l’économie mais également une compréhension des enjeux relatifs à ces deux domaines.
Pour Yinka Ibukun, ce programme a été principalement conçu pour les journalistes en milieu de carrière, les professionnels de la finance intéressés par le journalisme financier, les professionnels du gouvernement responsables des politiques publiques, de la communication et des portefeuilles financiers, ainsi que les praticiens du développement et les professionnels de la société civile intéressés par le développement de l’Afrique et les données financières et économiques.
Le représentant du Cesag a pour sa part, fait savoir que la mise en place de ce programme de formation montre l’engagement des partenaires impliqués, envers l’excellence dans le journalisme financier.
Professeur Alassane Ouattara, en l’occurrence, a ajouté que cette formation est un atout pour former des journalistes « qualifiés, éthiques, pour mettre à la disposition des populations des informations certifiées.
Par ailleurs, la directrice de Fgi (Finance, gestion et intermédiation a magnifié la mise en place de cette formation au journalisme financier vu l’importance que revêt l’information dans le domaine de la finance.
« Les investisseurs sont de plus en plus demandeurs d’une information fiable, vérifiée et à jour », a expliqué Astou Diop Sène.
Mme Sène a, dans le même sillage, relevé le fait que les gens ont parfois des « difficultés dans la manipulation des chiffres et l’interprétation des tableaux de données.
Ce qui explique, selon elle, l’importance de ce programme de formation qui vise à renforcer les capacités des professionnels des médias dans les domaines de l’économie et de la finance. Les personnes intéressées par ce programme de formation ont jusqu’au 22 septembre pour soumettre leur candidature.
Bassirou MBAYE
A noter qu’en plus d’assister à tous les blocs d’étude, les participants devront effectuer des évaluations avant et après le programme, et soumettre et réussir tous les devoirs requis pour obtenir le certificat.
Dans ce sens, le directeur du Cesti a beaucoup insisté sur l’assiduité des candidats retenus et qui sont appelés à assister à tous les cours.
La valeur du programme est supérieure à 26,580 USD, mais grâce au soutien de la fondation Bloomberg Philanthropies et de la fondation Stavros Niarchos, chaque candidat retenu bénéficiera d’une bourse d’études.
Les bourses couvrent les frais de scolarité, les documents de cours, le déjeuner et les rafraîchissements.
Les personnes ayant obtenu une bourse devront s’acquitter de frais d’inscription d’un montant de 250 USD et devront prendre en charge leur transport et leur hébergement.
Les candidats qui souhaitent être exemptés des frais d’inscription sont invités à contacter le responsable du programme dans leur pays, sachant que la Côte d’Ivoire et le Sénégal ont été choisis pour dérouler la formation faite en Afrique de l’Ouest.
La rédactrice principale de Bloomberg a indiqué que le programme de formation au journalisme financier va offrir des opportunités aux candidats qui seront retenus en matière, notamment, de maîtrise des termes et concepts liés à la finance et à l’économie mais également une compréhension des enjeux relatifs à ces deux domaines.
Pour Yinka Ibukun, ce programme a été principalement conçu pour les journalistes en milieu de carrière, les professionnels de la finance intéressés par le journalisme financier, les professionnels du gouvernement responsables des politiques publiques, de la communication et des portefeuilles financiers, ainsi que les praticiens du développement et les professionnels de la société civile intéressés par le développement de l’Afrique et les données financières et économiques.
Le représentant du Cesag a pour sa part, fait savoir que la mise en place de ce programme de formation montre l’engagement des partenaires impliqués, envers l’excellence dans le journalisme financier.
Professeur Alassane Ouattara, en l’occurrence, a ajouté que cette formation est un atout pour former des journalistes « qualifiés, éthiques, pour mettre à la disposition des populations des informations certifiées.
Par ailleurs, la directrice de Fgi (Finance, gestion et intermédiation a magnifié la mise en place de cette formation au journalisme financier vu l’importance que revêt l’information dans le domaine de la finance.
« Les investisseurs sont de plus en plus demandeurs d’une information fiable, vérifiée et à jour », a expliqué Astou Diop Sène.
Mme Sène a, dans le même sillage, relevé le fait que les gens ont parfois des « difficultés dans la manipulation des chiffres et l’interprétation des tableaux de données.
Ce qui explique, selon elle, l’importance de ce programme de formation qui vise à renforcer les capacités des professionnels des médias dans les domaines de l’économie et de la finance. Les personnes intéressées par ce programme de formation ont jusqu’au 22 septembre pour soumettre leur candidature.
Bassirou MBAYE