‘’En revanche, dans les pays où la relance des activités motrices reste en berne, le ralentissement de la croissance économique à un impact négatif avéré sur le rythme et l’ampleur du progrès social’’, a-t-il expliqué en marge de la cérémonie d’ouverture de la 23 éme session du conseil des Gouverneurs de la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF).
‘’Dans les deux cas des réponses urgentes sont attendues par les populations, les gouvernements sont interpellés pour des secteurs moteurs puissants créateurs d’emplois, a-t-il ajouté ‘’.
Selon lui, si à court terme le marché financier régional a besoin d’être sollicité plus, l’utilisation des ressources mobilisées devraient également permettre d’entretenir une dynamique soutenue de croissance forte et inclusive.
‘’En d’autres terme, avec un taux de pression fiscale qui avoisine le seuil de 20% dans la zone CEDEAO, le Sénégal déploie des efforts certains de mobilisation des ressources internes’’ poursuit-il.
‘’ Le Sénégal a déjà réalisé sa transition fiscale et environ 2/3 des recettes budgétaires proviennent depuis les années 2000 de la fiscalité intérieure’’ a-t-il fait savoir à l’assistance.
‘’Cependant, devant les objectifs de croissance forte et durable affichés, les efforts ainsi déployés devraient se maintenir et gagneraient donc à être auto-entretenu dans la durée, à travers le financement d’un capital humain de qualité, la diversification des sources de revenus, notamment par le canal de l’emploi des jeunes et une meilleure redistribution de fruit de la croissance’’.
Ndeye Maguette Kébé
‘’Dans les deux cas des réponses urgentes sont attendues par les populations, les gouvernements sont interpellés pour des secteurs moteurs puissants créateurs d’emplois, a-t-il ajouté ‘’.
Selon lui, si à court terme le marché financier régional a besoin d’être sollicité plus, l’utilisation des ressources mobilisées devraient également permettre d’entretenir une dynamique soutenue de croissance forte et inclusive.
‘’En d’autres terme, avec un taux de pression fiscale qui avoisine le seuil de 20% dans la zone CEDEAO, le Sénégal déploie des efforts certains de mobilisation des ressources internes’’ poursuit-il.
‘’ Le Sénégal a déjà réalisé sa transition fiscale et environ 2/3 des recettes budgétaires proviennent depuis les années 2000 de la fiscalité intérieure’’ a-t-il fait savoir à l’assistance.
‘’Cependant, devant les objectifs de croissance forte et durable affichés, les efforts ainsi déployés devraient se maintenir et gagneraient donc à être auto-entretenu dans la durée, à travers le financement d’un capital humain de qualité, la diversification des sources de revenus, notamment par le canal de l’emploi des jeunes et une meilleure redistribution de fruit de la croissance’’.
Ndeye Maguette Kébé