Dans un communiqué de presse, le Restic dit être satisfait de la nomination d’un nouveau Directeur général à la tête de Sénégal numérique S.A. (Senum), un «choix judicieux et adéquat » car le nouveau manager à une expérience transversale dans l’informatique et les secteurs transformateurs digitaux et numériques. C’est une bonne nomination et le Restic invite Isidore Diouf à faire un «audit approfondi et global de la gestion (…) de son prédécesseur surtout pour les réseaux données sur fibres optiques où le Sénégal s’est endetté par 60 milliards auprès de la Chine et de la Corée ».
Selon le Restic, la digitalisation, la dématérialisation, le stockage des données de l’Etat, la souveraineté numérique, le dividende numérique, digital et le parachèvement de l’e-administration et la cyber sécurité sont des chantiers vastes sur lesquels notre pays n’a fait aucun progrès depuis presque dix ans. Senum S.A, ajoute le Restic, doit être aussi un incubateur d’innovation au profit de l’état pour un delivery en phase avec un état moderne. Il juge essentiel pour Senum de mutualiser les ressources de l’Etat et ceux des opérateurs de l’écosystème.
Pour le Restic, Senum S.A doit inscrire l’agenda publique dans le big data et l’intelligence artificielle. Il invite tous les acteurs du digital et du numérique à accompagner le management de M. Diouf afin de faciliter la mutation de Senum S.A en un opérateur public performant au profit de l’Etat, de l’administration et des usagers. Le Restic rappelle au Premier ministre, le cas de Koppar S.A dont le fondateur a été «persécuté et emprisonné ; et l’entreprise poussée à la faillite ».
Adou Faye
Selon le Restic, la digitalisation, la dématérialisation, le stockage des données de l’Etat, la souveraineté numérique, le dividende numérique, digital et le parachèvement de l’e-administration et la cyber sécurité sont des chantiers vastes sur lesquels notre pays n’a fait aucun progrès depuis presque dix ans. Senum S.A, ajoute le Restic, doit être aussi un incubateur d’innovation au profit de l’état pour un delivery en phase avec un état moderne. Il juge essentiel pour Senum de mutualiser les ressources de l’Etat et ceux des opérateurs de l’écosystème.
Pour le Restic, Senum S.A doit inscrire l’agenda publique dans le big data et l’intelligence artificielle. Il invite tous les acteurs du digital et du numérique à accompagner le management de M. Diouf afin de faciliter la mutation de Senum S.A en un opérateur public performant au profit de l’Etat, de l’administration et des usagers. Le Restic rappelle au Premier ministre, le cas de Koppar S.A dont le fondateur a été «persécuté et emprisonné ; et l’entreprise poussée à la faillite ».
Adou Faye