Le projet de budget du ministère de l’Energie pour la gestion de l’année 2014 est arrêté à la somme de 97 755 882 340 francs CFA contre 88 108 733 080 FCFA, soit une hausse de 9 milliards 647 millions en valeur absolue et près de 11% en valeur relative. Cette hausse résulte d’une nouvelle inscription de 7 460 401 000 francs CFA destinée au règlement d’une partie des pertes commerciales de la SAR sur le gaz butane. Ces crédits accordés à la Société africaine de raffinage constituent, en partie, les dépenses de transfert du département de l’énergie dont les prévisions se chiffrent à 7 533 082 000 FCFA contre moins d’un million pour la gestion 2013.
Le ministre de l’Energie Maïmouna Ndoye Seck, entourée de plusieurs de ses collaborateurs, est venu mercredi défendre le projet de budget de son département pour l’exercice 2014. Au total 57 députés ont participé au débat général qui a été dominé par les enjeux autour de l’électrification rurale, l’extension du réseau aux quartiers éloignés des villes, la lutte contre la fraude, la situation de la SENELEC, entre autres.
Concernant les difficultés de la SAR, Mme Seck a assuré que des mesures sont prises pour que cette entreprise d’approvisionnement en produits pétroliers puisse être performante. ‘’La SAR constitue un élément important dans la sécurisation et l’approvisionnement du Sénégal en produits pétroliers. C’est pourquoi toutes les dispositions sont prises pour maintenir cet outil d’exploitation’’, a assuré Maïmouna Ndoye Seck. En plus de la marge normale, a-t-elle ajouté, d’autres marges de soutien ont été accordées à la SAR. ‘’Un programme de modernisation et de restructuration a été étudié. Nous allons faire en sorte que la SAR fonctionne dans les conditions normales’’, a souligné le ministre de l’Energie. Selon Maïmouna Ndoye Seck, l’accompagnement de l’Etat va être arrêté dès que la SAR aura retrouvé son niveau de performance. ‘’Il s’agit de soutenir cette entreprise pour qu’elle devienne performante. C’est en ce moment-là que l’Etat va arrêter la subvention. C’est dans cette dynamique que nous nous sommes inscrits et cela concerne toutes les entreprises publiques’’, a-t-elle dit.
APS
Le ministre de l’Energie Maïmouna Ndoye Seck, entourée de plusieurs de ses collaborateurs, est venu mercredi défendre le projet de budget de son département pour l’exercice 2014. Au total 57 députés ont participé au débat général qui a été dominé par les enjeux autour de l’électrification rurale, l’extension du réseau aux quartiers éloignés des villes, la lutte contre la fraude, la situation de la SENELEC, entre autres.
Concernant les difficultés de la SAR, Mme Seck a assuré que des mesures sont prises pour que cette entreprise d’approvisionnement en produits pétroliers puisse être performante. ‘’La SAR constitue un élément important dans la sécurisation et l’approvisionnement du Sénégal en produits pétroliers. C’est pourquoi toutes les dispositions sont prises pour maintenir cet outil d’exploitation’’, a assuré Maïmouna Ndoye Seck. En plus de la marge normale, a-t-elle ajouté, d’autres marges de soutien ont été accordées à la SAR. ‘’Un programme de modernisation et de restructuration a été étudié. Nous allons faire en sorte que la SAR fonctionne dans les conditions normales’’, a souligné le ministre de l’Energie. Selon Maïmouna Ndoye Seck, l’accompagnement de l’Etat va être arrêté dès que la SAR aura retrouvé son niveau de performance. ‘’Il s’agit de soutenir cette entreprise pour qu’elle devienne performante. C’est en ce moment-là que l’Etat va arrêter la subvention. C’est dans cette dynamique que nous nous sommes inscrits et cela concerne toutes les entreprises publiques’’, a-t-elle dit.
APS