chroniques
Dans un entretien avec l’APS, en marge d’une rencontre sur la mobilisation des ressources organisée par l’Alliance nationale de lutte contre le Sida (ANLS), Daouda Diouf a souligné la nécessité d’insister sur la responsabilité sociale des entreprises et industries qui exploitent les ressources minières au Sénégal.
''Ce n’est pas une responsabilité sociale ordinaire, mais l’exploitation des mines est un facteur qui entraîne la vulnérabilité au Vih’’, a t –il expliqué.
‘’On fait face à une réduction drastique des financements mais je considère que chaque problème de financement qui apparaît est une opportunité pour réfléchir sur comment optimiser les financements qui sont disponibles et comment développer de nouveaux financements innovants’’, a relevé le Directeur de Enda Santé.
Pour Daouda Diouf, le secteur minier est un secteur où l’activité économique est la plus liée à la propagation de l’épidémie.
''On a vu dans des pays il y a quelques années où les mines étaient fermées parce qu’il n’y avait plus d’ouvriers. Il étaient décédés du Vih’’, a t –il ajouté.
Selon lui, ''c’est une question de santé publique que de conscientiser le secteur de l’exploitation minière à investir davantage dans la prévention et la prise en charge des personnes vivant avec le Vih’’.
Il a souhaité que les acteurs de la société civile soient autour d’une table avec le gouvernement pour définir les mécanismes afin que que ce fonds minier puisse soutenir la lutte contre le Sida.
APS
''Ce n’est pas une responsabilité sociale ordinaire, mais l’exploitation des mines est un facteur qui entraîne la vulnérabilité au Vih’’, a t –il expliqué.
‘’On fait face à une réduction drastique des financements mais je considère que chaque problème de financement qui apparaît est une opportunité pour réfléchir sur comment optimiser les financements qui sont disponibles et comment développer de nouveaux financements innovants’’, a relevé le Directeur de Enda Santé.
Pour Daouda Diouf, le secteur minier est un secteur où l’activité économique est la plus liée à la propagation de l’épidémie.
''On a vu dans des pays il y a quelques années où les mines étaient fermées parce qu’il n’y avait plus d’ouvriers. Il étaient décédés du Vih’’, a t –il ajouté.
Selon lui, ''c’est une question de santé publique que de conscientiser le secteur de l’exploitation minière à investir davantage dans la prévention et la prise en charge des personnes vivant avec le Vih’’.
Il a souhaité que les acteurs de la société civile soient autour d’une table avec le gouvernement pour définir les mécanismes afin que que ce fonds minier puisse soutenir la lutte contre le Sida.
APS
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