Le Compact est décrit comme un engagement éthique et moral entre le gouvernement du Sénégal, et ses Partenaires Techniques et Financiers pour soutenir la mise en œuvre de la politique de santé et de Couverture Maladie Universitaire. C’est pour cela que le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Kane soutient que le Sénégal se doit de « respecter ces engagements qui ne cessent de mobiliser les partenaires » pour le bien-être des populations. C’est en ce sens que Amadou Kane renouvelle sa gratitude vis-à-vis de ces partenaires, pour l’intérêt accordé « au secteur du développement économique et social du Sénégal ». Par ailleurs, le ministre de l’Economie et des finances se dit conscient de la rareté des ressources et de la compétition entre les priorités limitant « les allocations de crédit au profit de la santé ». Cependant, « je ne perds pas de vue le niveau de priorité élevé qui doit être accordé au secteur de la santé », argumente Amadou Kane.
Dans son intervention, Mme Alimata Diarra Kama, représentante de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), au Sénégal, affirme que la signature de ce compact concrétise « l’engament que le Sénégal avait pris au niveau mondial en Juillet 2009 ». Selon, Mme Kama cette initiative permet d’étudier « les moyens d’amélioration des conditions de mise en œuvre du plan national de développement sanitaire 2009-2018 ». Elle déclare que le compact devrait aider le gouvernement et le secteur de la santé à mieux « coordonner leurs interventions dans la résolution de pilotage et de suivi-évaluation d’une politique sanitaire cohérente et efficiente ».
Abordant dans le même sens, le ministre de la Santé, de la Prévention et de l’Hygiène Publique, Awa Marie Colle Seck, affirme que la signature du Compact, définit « un cadre unique et harmonisé d’intervention pour le gouvernement et les partenaires techniques et financiers ». Pour elle, il est important de « signer ce compact pour qu’il y ait un lien entre la déclaration et la réalité ». Ainsi, le Compact permettra le suivi systématique du partenariat entre le gouvernement et les partenaires techniques et financiers du secteur de la santé. De ce fait, il s’inscrit dans la dynamique de mise en œuvre de la stratégie nationale de développement économique et social en cours, ainsi que le développement du capital humain, conditions de réussite de développement durable.
Amy Diallo
Dans son intervention, Mme Alimata Diarra Kama, représentante de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), au Sénégal, affirme que la signature de ce compact concrétise « l’engament que le Sénégal avait pris au niveau mondial en Juillet 2009 ». Selon, Mme Kama cette initiative permet d’étudier « les moyens d’amélioration des conditions de mise en œuvre du plan national de développement sanitaire 2009-2018 ». Elle déclare que le compact devrait aider le gouvernement et le secteur de la santé à mieux « coordonner leurs interventions dans la résolution de pilotage et de suivi-évaluation d’une politique sanitaire cohérente et efficiente ».
Abordant dans le même sens, le ministre de la Santé, de la Prévention et de l’Hygiène Publique, Awa Marie Colle Seck, affirme que la signature du Compact, définit « un cadre unique et harmonisé d’intervention pour le gouvernement et les partenaires techniques et financiers ». Pour elle, il est important de « signer ce compact pour qu’il y ait un lien entre la déclaration et la réalité ». Ainsi, le Compact permettra le suivi systématique du partenariat entre le gouvernement et les partenaires techniques et financiers du secteur de la santé. De ce fait, il s’inscrit dans la dynamique de mise en œuvre de la stratégie nationale de développement économique et social en cours, ainsi que le développement du capital humain, conditions de réussite de développement durable.
Amy Diallo