« Le fonds va mobiliser l’épargne longue africaine pour financer les projets en Afrique », a avancé M. Kaberuka. Selon lui, augmenter le taux de réalisation d’infrastructures en Afrique implique qu’une plus grande attention soit accordée aussi bien à la préparation et au développement des projets, qu’aux outils de financement spécialisés pour faire face aux défis spécifiques du marché africain. A ce titre, soutient encore le Président de la BAD, le fonds Africa50 va se focaliser sur des projets ayant une grande influence nationale et régionale dans les secteurs de l'énergie, du transport, des technologies de l’information et de la communication (TIC) et de l'eau.
Sur un autre registre, M. Kaberuka estime que l’émergence en Afrique se situe au niveau des chaines de valeur, soutenant qu’aujourd’hui, chaque produit fabriqué peut provenir de partout. « Le phénomène « made in » est remplacé par celui de chaine de valeur », a laissé entendre M. Kaberuka. Il a donné en exemple les avions Airbus qui sont fabriqués dans plusieurs pays européens.
Ismaila BA
Sur un autre registre, M. Kaberuka estime que l’émergence en Afrique se situe au niveau des chaines de valeur, soutenant qu’aujourd’hui, chaque produit fabriqué peut provenir de partout. « Le phénomène « made in » est remplacé par celui de chaine de valeur », a laissé entendre M. Kaberuka. Il a donné en exemple les avions Airbus qui sont fabriqués dans plusieurs pays européens.
Ismaila BA