Selon lui, la conférence de Dakar va permettre de mobiliser encore plus de ressources du secteur privé et de créer un lien beaucoup plus fort entre les investissements et les efforts de mobilisation des secteurs tant public que privé. Interrogé sur ses attentes concernant le sommet, il dit avoir espoir qu’à la suite de cette réunion, les 16 projets prioritaires définis par le NEPAD seront financés en grande partie.
Selon Makhtar Diop, « l’essentiel du portefeuille de la Banque en Afrique se situe dans les infrastructures. Nous avons fait cette année un total de 10,5 milliards de dollars dont à peu près 60% vont dans le secteur des infrastructures ». il ajoute que dans ce domaine, la Banque met son effort dans le secteur de l’énergie qui constitue un obstacle important au développement du continent. Citant le cas de l’Afrique de l’Ouest, il a rappelé que récemment la Mauritanie, le Sénégal et le Mali ont signé un accord qui permettra de transformer le gaz de Banda de la Mauritanie en électricité. Selon M. Diop ce sont ces genres d’initiatives que soutient la Banque mondiale. Il en sera de même en Afrique de l’Est et au Congo avec le projet Inga. « L’ensemble de ces projets aideront à transformer les économies africaines », soutient encore le vice-président de la Banque mondiale.
Ismaila BA
Selon Makhtar Diop, « l’essentiel du portefeuille de la Banque en Afrique se situe dans les infrastructures. Nous avons fait cette année un total de 10,5 milliards de dollars dont à peu près 60% vont dans le secteur des infrastructures ». il ajoute que dans ce domaine, la Banque met son effort dans le secteur de l’énergie qui constitue un obstacle important au développement du continent. Citant le cas de l’Afrique de l’Ouest, il a rappelé que récemment la Mauritanie, le Sénégal et le Mali ont signé un accord qui permettra de transformer le gaz de Banda de la Mauritanie en électricité. Selon M. Diop ce sont ces genres d’initiatives que soutient la Banque mondiale. Il en sera de même en Afrique de l’Est et au Congo avec le projet Inga. « L’ensemble de ces projets aideront à transformer les économies africaines », soutient encore le vice-président de la Banque mondiale.
Ismaila BA