''Ces deux projets financés par le gouvernement japonais à hauteur de 9, 569 milliards de francs (20 millions de dollars) proposent une articulation entre les défis de la gouvernance, la consolidation de la paix, de la sécurité humaine et la résilience des communautés’’, a expliqué Fatou Bintou Djibo, le représentant du Programme des nations unies pour le développement (PNUD).
Elle s’exprimait au cours de la cérémonie d’ouverture d’un séminaire régional portant sur l'accélération de la mise en œuvre et la planification de fonds japonais organisé à Dakar. Les cinq pays considérés comme les plus ‘’exposés’’ au Sahel -- le Burkina Faso, la Mauritanie, le Mali, le Niger et le Tchad -- ont pris part à cette rencontre qui prend fin mardi.
Ce séminaire, organisé sous l’égide du PNUD, vise notamment à "faciliter une analyse partagée des risques et opportunités dans la région", "identifier les défis communs et les complémentarités et synergies possibles" et "assurer une meilleure articulation des différents domaines thématiques’’.
Cette aide du Japon entre dans le cadre d’une élaboration de stratégies spécifiques et des cadres de planification et de coordination pour le Sahel dont l’objectif est d’apporter une cohérence et une efficacité dans la ‘’réponse régionale à une crise régionale’’.
Les cinq pays concernés par ces projets ont entrepris des activités spécifiques fondées sur la consolidation de dynamiques en cours. Selon le représentant-résident du PNUD, ces échanges du Groupe des cinq pays ‘’vont permettre les pistes de solutions (…) dans l’analyse des risques et opportunités dans la région en identifiant les défis communs et renforcer les synergies possibles’’.
‘’Depuis deux ou trois ans, le Sahel continue d’attirer une attention particulière en termes de sécheresse, de famine et de crises dites naturelles. Il s’y ajoute d’autres problèmes liés à la sécurité avec la constitution de réseaux terroristes et criminels transnationaux’’, a poursuivi Fabrice Boussalem, coordonnateur du programme régional dans ces cinq pays.
Evoquant l'absence du Sénégal dans ces projets en cours ''dans les cinq pays immédiatement concernés'' par ces questions de sécurité, M. Boussalem estime que Dakar ''devrait être considéré dans la même dynamique que les autres pays''.
''En tout cas, il y a un certain nombre de discussions et de dialogue sur ce sujet de l’intégration de Dakar dans les différents projets'', a-t-il assuré devant des journalistes.
APS
Elle s’exprimait au cours de la cérémonie d’ouverture d’un séminaire régional portant sur l'accélération de la mise en œuvre et la planification de fonds japonais organisé à Dakar. Les cinq pays considérés comme les plus ‘’exposés’’ au Sahel -- le Burkina Faso, la Mauritanie, le Mali, le Niger et le Tchad -- ont pris part à cette rencontre qui prend fin mardi.
Ce séminaire, organisé sous l’égide du PNUD, vise notamment à "faciliter une analyse partagée des risques et opportunités dans la région", "identifier les défis communs et les complémentarités et synergies possibles" et "assurer une meilleure articulation des différents domaines thématiques’’.
Cette aide du Japon entre dans le cadre d’une élaboration de stratégies spécifiques et des cadres de planification et de coordination pour le Sahel dont l’objectif est d’apporter une cohérence et une efficacité dans la ‘’réponse régionale à une crise régionale’’.
Les cinq pays concernés par ces projets ont entrepris des activités spécifiques fondées sur la consolidation de dynamiques en cours. Selon le représentant-résident du PNUD, ces échanges du Groupe des cinq pays ‘’vont permettre les pistes de solutions (…) dans l’analyse des risques et opportunités dans la région en identifiant les défis communs et renforcer les synergies possibles’’.
‘’Depuis deux ou trois ans, le Sahel continue d’attirer une attention particulière en termes de sécheresse, de famine et de crises dites naturelles. Il s’y ajoute d’autres problèmes liés à la sécurité avec la constitution de réseaux terroristes et criminels transnationaux’’, a poursuivi Fabrice Boussalem, coordonnateur du programme régional dans ces cinq pays.
Evoquant l'absence du Sénégal dans ces projets en cours ''dans les cinq pays immédiatement concernés'' par ces questions de sécurité, M. Boussalem estime que Dakar ''devrait être considéré dans la même dynamique que les autres pays''.
''En tout cas, il y a un certain nombre de discussions et de dialogue sur ce sujet de l’intégration de Dakar dans les différents projets'', a-t-il assuré devant des journalistes.
APS