En plus des festivités et d’une programmation musicale variée, le festival de jazz s’est imposé comme une sorte de perfusion pour l’activité économique de Saint-Louis, notamment dans le domaine du tourisme et de l’hôtellerie. Les organisateurs de l’événement ont manifesté une réelle satisfaction et témoigné de la manne financière que représente le festival de jazz pour la ville de Saint-Louis même s’ils ne se hasardent pas à donner de chiffres officiels.
Sous ce registre, un deuxième report du festival cette année, après l’annulation de l’édition de 2020 pour cause de Covid-19, aurait constitué un important manque à gagner pour l’économie de la région mais aussi porterait un sérieux coup en termes d’image et de prestige à cet événement culturel majeur le plus important du continent.
Des partenaires historiques et traditionnels comme la BICIS et la Fondation BNP Paribas ont répondu, comme par le passé, à l’appel de l’Association Saint-Louis Jazz pour maintenir allumé le flambeau du festival et permettre à l’activité économique de la région notamment les commerces, la restauration et l’hôtellerie de se poursuivre.
« La BICIS comprend, aujourd’hui, que ce festival est très important et gagnerait à être accompagné » a témoigné Me Ibrahima DIOP, le président de l’Association Saint-Louis Jazz. Il a exprimé toute sa satisfaction pour la tenue de cette édition et sa reconnaissance à la BICIS et à la Fondation BNP Paribas pour la fidélité depuis plus d’une vingtaine d’années dans l’accompagnement de cette activité. « Vous avez vu ce qui s’est passé. C’était l’apothéose. Tous les hôtels ont été remplis. Nous peinions même à loger la plupart de nos artistes. Une bouffée d’oxygène pour les réceptifs hôteliers qui ont subi de plein fouet les conséquences néfastes de la crise sanitaire » a-t-il laissé entendre.
Quant au Directeur Général de la BICIS, M. Bernard Levie, il a exprimé toute la satisfaction et le « bonheur » pour son institution à accompagner et à soutenir le festival de jazz de Saint-Louis, depuis une vingtaine d’années aux côtés de la Fondation BNP Paribas. Ce festival, selon M. Levie, qui déborde les frontières de Saint-Louis et même du Sénégal est une belle tribune pour « rehausser et rayonner l’image du Sénégal et de l’Afrique ».
Pour sa part, le chef du service régional du Tourisme de Saint Louis, M. Ousmane Diop, a souligné que cette 29eme édition du festival de jazz de Saint-Louis qui intervient dans un contexte de Covid-19 va servir de base de relance pour le tourisme. « Le festival participera à la relance de la destination Saint-Louis et devra jouer pleinement ce rôle l'année prochaine lorsque les travaux de l'aéroport de Saint-Louis seront terminés. Ce qui permettra à des sommités mondiales de la musique et de la culture d’atterrir directement à Saint-Louis pour participer au festival », a souligné le chef du service régional du Tourisme de Saint-Louis.
Lejecos Magazine
Sous ce registre, un deuxième report du festival cette année, après l’annulation de l’édition de 2020 pour cause de Covid-19, aurait constitué un important manque à gagner pour l’économie de la région mais aussi porterait un sérieux coup en termes d’image et de prestige à cet événement culturel majeur le plus important du continent.
Des partenaires historiques et traditionnels comme la BICIS et la Fondation BNP Paribas ont répondu, comme par le passé, à l’appel de l’Association Saint-Louis Jazz pour maintenir allumé le flambeau du festival et permettre à l’activité économique de la région notamment les commerces, la restauration et l’hôtellerie de se poursuivre.
« La BICIS comprend, aujourd’hui, que ce festival est très important et gagnerait à être accompagné » a témoigné Me Ibrahima DIOP, le président de l’Association Saint-Louis Jazz. Il a exprimé toute sa satisfaction pour la tenue de cette édition et sa reconnaissance à la BICIS et à la Fondation BNP Paribas pour la fidélité depuis plus d’une vingtaine d’années dans l’accompagnement de cette activité. « Vous avez vu ce qui s’est passé. C’était l’apothéose. Tous les hôtels ont été remplis. Nous peinions même à loger la plupart de nos artistes. Une bouffée d’oxygène pour les réceptifs hôteliers qui ont subi de plein fouet les conséquences néfastes de la crise sanitaire » a-t-il laissé entendre.
Quant au Directeur Général de la BICIS, M. Bernard Levie, il a exprimé toute la satisfaction et le « bonheur » pour son institution à accompagner et à soutenir le festival de jazz de Saint-Louis, depuis une vingtaine d’années aux côtés de la Fondation BNP Paribas. Ce festival, selon M. Levie, qui déborde les frontières de Saint-Louis et même du Sénégal est une belle tribune pour « rehausser et rayonner l’image du Sénégal et de l’Afrique ».
Pour sa part, le chef du service régional du Tourisme de Saint Louis, M. Ousmane Diop, a souligné que cette 29eme édition du festival de jazz de Saint-Louis qui intervient dans un contexte de Covid-19 va servir de base de relance pour le tourisme. « Le festival participera à la relance de la destination Saint-Louis et devra jouer pleinement ce rôle l'année prochaine lorsque les travaux de l'aéroport de Saint-Louis seront terminés. Ce qui permettra à des sommités mondiales de la musique et de la culture d’atterrir directement à Saint-Louis pour participer au festival », a souligné le chef du service régional du Tourisme de Saint-Louis.
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