‘’Nous devons mettre un accent particulier sur la gestion des aérodromes et des aéroports pour renforcer la sécurité’’, a-t-il expliqué lors de la journée internationale de l’aviation civile célébré par l’ANACIM en marge de la Foire internationale de Dakar (FIDAK). Selon M. Ndao, le renforcement de la sécurité de ces installations justifie l’un des thèmes --la certification d’un aéroport, choisis pour célébrer cette journée instituée par l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI).
‘’Dès qu’on dit qu’un aéroport est certifié, cela traduit que les risques sont maîtrisés et minimes’’, a-t-il dit, précisant que ‘’la norme stipule que tout aérodrome ouvert à la circulation aérienne publique, qui reçoit du trafic des vols internationaux, doit être certifié’’. Un aérodrome certifié offre plus de garantie, a-t-il souligné, signalant que 80% des accidents aériens ont lieu dans la phase de décollage-atterrissage. ‘’Certifier un aéroport, a-t-il dit, c’est s’assurer que l’ensemble des normes qui ont été édictées par l’OACI en matière d’aérodrome ont été appliquées rigoureusement.’’
Le directeur de l'ANACIM a expliqué qu'une fois qu’un aéroport est certifié, un label l'indiquera. Même au niveau de la desserte, les compagnies aériennes qui doivent contracter des assurances par rapport à la desserte de cet aéroport verront leur facture d’assurance baisser.
Il a donné, à ce propos, l’assurance que l’Aéroport international Léopold Sédar Senghor de Dakar sera dans le lot des aéroports qui recevront leur certification parce que recevant du trafic international. ‘’Nous avons l’obligation de terminer la certification de l’aéroport Léopold Sédar Senghor qui est une procédure enclenchée depuis un an, mais aussi l’étendre aux aérodromes secondaires qui reçoivent aussi des vols internationaux’’, a-t-il ajouté.
Abordant l’autre sous thème de la journée : ‘’La promotion de la sécurité et de la sûreté’’, le Directeur général de l'ANACIM a relevé deux piliers qui sous-tendent l’aviation civile internationale. ‘’Une aviation civile sans sécurité ne peut pas prospérer, il faut avoir un espace aérien sûr, mais également des aérodromes sûrs’’, a-t-il poursuivi, dans son développement.
APS
‘’Dès qu’on dit qu’un aéroport est certifié, cela traduit que les risques sont maîtrisés et minimes’’, a-t-il dit, précisant que ‘’la norme stipule que tout aérodrome ouvert à la circulation aérienne publique, qui reçoit du trafic des vols internationaux, doit être certifié’’. Un aérodrome certifié offre plus de garantie, a-t-il souligné, signalant que 80% des accidents aériens ont lieu dans la phase de décollage-atterrissage. ‘’Certifier un aéroport, a-t-il dit, c’est s’assurer que l’ensemble des normes qui ont été édictées par l’OACI en matière d’aérodrome ont été appliquées rigoureusement.’’
Le directeur de l'ANACIM a expliqué qu'une fois qu’un aéroport est certifié, un label l'indiquera. Même au niveau de la desserte, les compagnies aériennes qui doivent contracter des assurances par rapport à la desserte de cet aéroport verront leur facture d’assurance baisser.
Il a donné, à ce propos, l’assurance que l’Aéroport international Léopold Sédar Senghor de Dakar sera dans le lot des aéroports qui recevront leur certification parce que recevant du trafic international. ‘’Nous avons l’obligation de terminer la certification de l’aéroport Léopold Sédar Senghor qui est une procédure enclenchée depuis un an, mais aussi l’étendre aux aérodromes secondaires qui reçoivent aussi des vols internationaux’’, a-t-il ajouté.
Abordant l’autre sous thème de la journée : ‘’La promotion de la sécurité et de la sûreté’’, le Directeur général de l'ANACIM a relevé deux piliers qui sous-tendent l’aviation civile internationale. ‘’Une aviation civile sans sécurité ne peut pas prospérer, il faut avoir un espace aérien sûr, mais également des aérodromes sûrs’’, a-t-il poursuivi, dans son développement.
APS