chroniques
Il présidait l’ouverture de la première réunion de son Comité consultatif sur les transports maritimes (CCTM) de l’UEMOA.
Aux yeux du M. Diop, la rencontre de Dakar permettra d’examiner les grands projets du plan d’actions prioritaires du programme commun du développement des transports maritimes de l’UEMOA qui doivent apporter des solutions aux problèmes auxquels ce secteur se trouve confronté depuis plusieurs décennies. « Les questions de la sécurité et de la sûreté maritime mais également de nos installations portuaires devenues obsolètes et techniquement inadaptées pour accueillir les navires de nouvelle génération, suite aux mutations opérées par les grands armements, sont devenues une tendance lourde à laquelle les pays africains en général et les pays de la sous-région en particulier doivent faire face », soutient le directeur de cabinet.
Ce qui lui fait dire que « trouver des réponses justes et innovantes aux différentes questions du secteur maritime de la zone UEMOA, donne à la première réunion du CCTM la responsabilité historique de faire des services de transports maritimes les moteurs du développement économique de la sous-région ».
Le CCTM a été mis en place par une directive N° 04 du 28 mars 2008 portant sur le cadre institutionnel harmonisé du sous-secteur maritime au sein de l’UEMOA. Mais depuis cette date, il ne s’est jamais réuni. Ce qu’a regretté Ismaïla Diop qui estime néanmoins que mieux vaut tard que jamais.
Une trentaine d’experts provenant des huit pays de l’UEMOA prennent part à cette rencontre qui prend fin jeudi 19 juin.
El Hadj Diakhaté
Aux yeux du M. Diop, la rencontre de Dakar permettra d’examiner les grands projets du plan d’actions prioritaires du programme commun du développement des transports maritimes de l’UEMOA qui doivent apporter des solutions aux problèmes auxquels ce secteur se trouve confronté depuis plusieurs décennies. « Les questions de la sécurité et de la sûreté maritime mais également de nos installations portuaires devenues obsolètes et techniquement inadaptées pour accueillir les navires de nouvelle génération, suite aux mutations opérées par les grands armements, sont devenues une tendance lourde à laquelle les pays africains en général et les pays de la sous-région en particulier doivent faire face », soutient le directeur de cabinet.
Ce qui lui fait dire que « trouver des réponses justes et innovantes aux différentes questions du secteur maritime de la zone UEMOA, donne à la première réunion du CCTM la responsabilité historique de faire des services de transports maritimes les moteurs du développement économique de la sous-région ».
Le CCTM a été mis en place par une directive N° 04 du 28 mars 2008 portant sur le cadre institutionnel harmonisé du sous-secteur maritime au sein de l’UEMOA. Mais depuis cette date, il ne s’est jamais réuni. Ce qu’a regretté Ismaïla Diop qui estime néanmoins que mieux vaut tard que jamais.
Une trentaine d’experts provenant des huit pays de l’UEMOA prennent part à cette rencontre qui prend fin jeudi 19 juin.
El Hadj Diakhaté
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