Le Directeur Général de CGF Gestion a donné cette bonne nouvelle lors de son passage à l'émission "Economia" du 20 mars 2018 de la radio Al Bayane d'Abidjan, 1ère radio en Côte d'Ivoire en termes d'audience.
M. Kalidou Diallo estime que cette onde positive relevée sur le marché financier est la résultante d’un travail de promotion effectué par les acteurs dans quasiment tous les pays de la zone UEMOA.
A cela, il y greffe l’ensemble des initiatives de la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) notamment la communication orientée sur ces marchés financiers.
Pour lui, le FCP est à la fois un outil d’épargne mais également un vrai levier de développement. « Quand vous achetez une action, vous financez une entreprise et quand vous achetez une obligation, vous financez un émetteur ou un Etat pour la réalisation de projets».
D’après lui, cette dynamique permet aux gens de mieux connaitre les acteurs qui font des Fonds communs de placement. Mais aussi les autorités de régulations qui travaillent là-dessus à côté de la BRVM, les différents acteurs que sont les sociétés de gestion d’OPCVM, sociétés d’intermédiation SGI.
Auparavant, M. Diallo a rappelé que le Fonds commun de placement est d’abord un panier de titres (actions, obligations, liquidités). Un instrument qui détient aussi des titres des marchés monétaires de court terme.
Il fait savoir que c’est un véhicule de placement collectif qui est agréé par les autorités du marché financier notamment le Conseil régional de l’épargne public et des marchés financiers, au niveau de la zone UEMOA.
Avant de rappeler que son objectif est de permettre de placer son épargne ou trésorerie dans l’optique d’avoir une rentabilité. Ce qui, en d’autres termes, signifie que le placement sur des obligations ou titres de créance nécessite un retour de taux d’intérêt.
D’où l’objectif premier du souscripteur dans un FCP est de mettre son épargne dans un placement afin de le rentabiliser pour une certaine durée.
Par ailleurs, le DG de CGF Gestion précise que le régulateur ne valide pas la conformité d’un fonds commun de placement dans le cadre la finance islamique.
Avant de préciser que tout fonds commun de placement éthique, doit respecter les cinq principes de base de la finance islamique, qui sont, entre autres, l’interdiction de l’usure, le partage des pertes et profits entre les détenteurs.
A cela s’ajoutent l’interdiction des secteurs illicites (alcool, armement, jeux du hasard), l’interdiction du risque excessif que l’on retrouve dans les règles de la finance islamique et l’adossement à un actif tangible.
D’après lui, pour bénéficier réellement de la rentabilité d’un marché financier, il conseille les épargnants à rester pour une durée de trois à cinq ans.
Mariama Diallo
M. Kalidou Diallo estime que cette onde positive relevée sur le marché financier est la résultante d’un travail de promotion effectué par les acteurs dans quasiment tous les pays de la zone UEMOA.
A cela, il y greffe l’ensemble des initiatives de la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) notamment la communication orientée sur ces marchés financiers.
Pour lui, le FCP est à la fois un outil d’épargne mais également un vrai levier de développement. « Quand vous achetez une action, vous financez une entreprise et quand vous achetez une obligation, vous financez un émetteur ou un Etat pour la réalisation de projets».
D’après lui, cette dynamique permet aux gens de mieux connaitre les acteurs qui font des Fonds communs de placement. Mais aussi les autorités de régulations qui travaillent là-dessus à côté de la BRVM, les différents acteurs que sont les sociétés de gestion d’OPCVM, sociétés d’intermédiation SGI.
Auparavant, M. Diallo a rappelé que le Fonds commun de placement est d’abord un panier de titres (actions, obligations, liquidités). Un instrument qui détient aussi des titres des marchés monétaires de court terme.
Il fait savoir que c’est un véhicule de placement collectif qui est agréé par les autorités du marché financier notamment le Conseil régional de l’épargne public et des marchés financiers, au niveau de la zone UEMOA.
Avant de rappeler que son objectif est de permettre de placer son épargne ou trésorerie dans l’optique d’avoir une rentabilité. Ce qui, en d’autres termes, signifie que le placement sur des obligations ou titres de créance nécessite un retour de taux d’intérêt.
D’où l’objectif premier du souscripteur dans un FCP est de mettre son épargne dans un placement afin de le rentabiliser pour une certaine durée.
Par ailleurs, le DG de CGF Gestion précise que le régulateur ne valide pas la conformité d’un fonds commun de placement dans le cadre la finance islamique.
Avant de préciser que tout fonds commun de placement éthique, doit respecter les cinq principes de base de la finance islamique, qui sont, entre autres, l’interdiction de l’usure, le partage des pertes et profits entre les détenteurs.
A cela s’ajoutent l’interdiction des secteurs illicites (alcool, armement, jeux du hasard), l’interdiction du risque excessif que l’on retrouve dans les règles de la finance islamique et l’adossement à un actif tangible.
D’après lui, pour bénéficier réellement de la rentabilité d’un marché financier, il conseille les épargnants à rester pour une durée de trois à cinq ans.
Mariama Diallo