Selon la même source, les emplois se sont accrus, en rythme trimestriel, de 723,9 milliards ou 2,9% pour s'établir à 25.744,5 milliards à fin septembre 2016. Cette évolution résulte d'une hausse des crédits de 180,6 milliards ou 1,18% et des autres emplois, notamment des titres de placement de 426,1 milliards ou 6,4%.
Pour leur part, souligne la même note les ressources se sont également inscrites en hausse de 274,2 milliards ou 1,2%, en rythme trimestriel, pour se situer à 23.383,5 milliards à fin septembre 2016. Cet accroissement provient d'une augmentation de 218,7 milliards ou 1,1% des dépôts et emprunts et de 115,2 milliards ou 8,0% des diverses ressources, atténuée par une baisse des fonds propres nets de 59,7 milliards ou 2,8%.
Quant –à- l'encours total des crédits octroyés aux 50 plus grosses entreprises utilisatrices de crédits bancaires de chaque Etat membre de l'Union, il s'établirait à 4.682,1 milliards à fin septembre 2016, en hausse de 13,0% en glissement annuel. Rapporté aux crédits déclarés à la centrale des risques bancaires de l'Union, cet encours représente 41,2%. Au plan sectoriel, les gros risques sont principalement portés par les entreprises évoluant dans les branches "commerce de gros" (32,5%), "industries manufacturières" (17,4%), "Services fournis à la collectivité" (16,4%) ainsi que "transports et communications" (10,3%). Ces quatre (4) branches d'activité attirent à elles seules plus des trois quarts des crédits à volume important.
Par ailleurs, le suivi de la Centrale des risques à fin septembre 2016 indique que la qualité du portefeuille des banques et établissements financiers à caractère bancaire de l'Union s'est détériorée par rapport à fin juin 2016. En effet, les taux brut et net de dégradation du portefeuille sont ressortis respectivement à 15,6% et 6,5% contre 14,8% et 6,1% au 30 juin 2016.
Oumar Nourou
Pour leur part, souligne la même note les ressources se sont également inscrites en hausse de 274,2 milliards ou 1,2%, en rythme trimestriel, pour se situer à 23.383,5 milliards à fin septembre 2016. Cet accroissement provient d'une augmentation de 218,7 milliards ou 1,1% des dépôts et emprunts et de 115,2 milliards ou 8,0% des diverses ressources, atténuée par une baisse des fonds propres nets de 59,7 milliards ou 2,8%.
Quant –à- l'encours total des crédits octroyés aux 50 plus grosses entreprises utilisatrices de crédits bancaires de chaque Etat membre de l'Union, il s'établirait à 4.682,1 milliards à fin septembre 2016, en hausse de 13,0% en glissement annuel. Rapporté aux crédits déclarés à la centrale des risques bancaires de l'Union, cet encours représente 41,2%. Au plan sectoriel, les gros risques sont principalement portés par les entreprises évoluant dans les branches "commerce de gros" (32,5%), "industries manufacturières" (17,4%), "Services fournis à la collectivité" (16,4%) ainsi que "transports et communications" (10,3%). Ces quatre (4) branches d'activité attirent à elles seules plus des trois quarts des crédits à volume important.
Par ailleurs, le suivi de la Centrale des risques à fin septembre 2016 indique que la qualité du portefeuille des banques et établissements financiers à caractère bancaire de l'Union s'est détériorée par rapport à fin juin 2016. En effet, les taux brut et net de dégradation du portefeuille sont ressortis respectivement à 15,6% et 6,5% contre 14,8% et 6,1% au 30 juin 2016.
Oumar Nourou