C’était au cours d’un séminaire de sensibilisation sur cette réforme organisé par la BCEAO. Selon M. Tiémoko Meyliet Koné gouverneur de la BCEAO, l’objectif visé à travers cette rencontre,est de présenter aux responsables au plus haut niveau de la profession bancaire le nouveau dispositif prudentiel applicable aux établissements de crédit de l’Union à compter du 1er janvier 2018 et le dispositif de supervision sur base consolidée en vigueur depuis son adoption par le conseil des ministres de l’UEMOA lors de sa session du 24 juin 2016 .
« La refonte du dispositif prudentiel de l’UMOA traduit la volonté des autorités de l’Union de faire converger le cadre réglementaire et de supervision régissant les activités bancaires vers les standards internationaux », ajoute-t-il. M. Koné est d’avis que l’objectif recherché est de renforcer la solidité et la résilience du système bancaire de l’UMOA, à travers un mécanisme favorisant une meilleure gestion et une maitrise accrue des risques qu’il encourt.
Par ailleurs, M. Koné affirme que l’installation dans la zone UMOA d’un nombre croissant de groupes bancaires transfrontaliers, a rendu urgent et nécessaire la mise en place d’un dispositif de supervision sur base consolidée. « Ce dispositif devrait permettre à la Commission bancaire de l’UMOA, non seulement d’avoir une vision globale des risques portés par ces groupes, mais aussi d’assurer une coordination et une coopération plus efficaces avec les autres juridictions qui les contrôlent », soutient le gouverneur de la BCEAO.
El Hadj Diakhaté
« La refonte du dispositif prudentiel de l’UMOA traduit la volonté des autorités de l’Union de faire converger le cadre réglementaire et de supervision régissant les activités bancaires vers les standards internationaux », ajoute-t-il. M. Koné est d’avis que l’objectif recherché est de renforcer la solidité et la résilience du système bancaire de l’UMOA, à travers un mécanisme favorisant une meilleure gestion et une maitrise accrue des risques qu’il encourt.
Par ailleurs, M. Koné affirme que l’installation dans la zone UMOA d’un nombre croissant de groupes bancaires transfrontaliers, a rendu urgent et nécessaire la mise en place d’un dispositif de supervision sur base consolidée. « Ce dispositif devrait permettre à la Commission bancaire de l’UMOA, non seulement d’avoir une vision globale des risques portés par ces groupes, mais aussi d’assurer une coordination et une coopération plus efficaces avec les autres juridictions qui les contrôlent », soutient le gouverneur de la BCEAO.
El Hadj Diakhaté