‘’Nous avons un accord avec le Syndicat autonome de l'enseignement supérieur (SAES). Et à partir de janvier, nous allons sécuriser les 12 mois de salaires du personnel de l’enseignement supérieur’’, a-t-il dit.
M. Bâ S’exprimait lors du vote, à l’Assemblée nationale, du projet de loi portant sur la deuxième loi de finances rectificative pour l’année 2014.
Il a soutenu que le gouvernement sénégalais a payé, il y a quelques jours, deux mois de salaires aux enseignants du SAES qui réclamaient, le 6 novembre dernier le paiement des salaires du mois d’octobre.
‘’Cette loi de finances va permettre de régler presque définitivement la question de l’enseignement supérieur’’, a soutenu Amadou Bâ, rappelant qu’à ''la date d’aujourd’hui (vendredi), toutes les bourses (d’étudiants) ont été payées''.
Il a indiqué que ''le gouvernement va aider, soutenir, encadrer le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour lui permettre de mener à bien les reformes entreprises dans ce secteur’’.
‘’Nous avons beaucoup de difficultés dans la gestion pratique du budget, mais nous travaillons pour la continuité de l’Etat’’ a-t-il dit.
Amadou Bâ aa en outre précisé que son département a besoin d’’’autorisations exceptionnelles’’ pour réduire le déficit budgétaire et améliorer la qualité des dépenses.
Le budget national 2014 devrait connaître une hausse de 38, 4 milliards de francs CFA au regard des projections de la seconde loi de finances rectificative, passant de 2685,9 milliards à 2724,317 milliards de francs CFA, soit une hausse de 1,4% en valeur relative.
Cette seconde loi de finances rectificative "a pour objectif le règlement des problèmes qui peuvent survenir dans l'exécution des budgets qui fait l'objet d'un suivi très serré de la part du ministère", indique le rapport par la commission de l'Economie générale, des Finances, du Plan et de la Coopération économique.
Cette loi "est un exercice réfléchi et s'avère indispensable" en ce qu'elle "permettra à l'Etat du Sénégal d'éviter une crise budgétaire et de régler les arriérés nés des gestions antérieures qui continuent à subsister", a explique le ministre de l'Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ, cité dans ce rapport.
Celle-ci "apporte des réponses aux préoccupations des Sénégalais notamment l'emploi des jeunes et la dotation en crédits budgétaires des projets exécutés par l'Agence nationale pour la promotion de l'emploi des jeunes (ANPEJ)", a-t-il précisé.
Elle permettra par ailleurs de prendre en charge des questions telles que l'assainissement de la situation financière des universités et des centres des œuvres universitaires, l'apurement de la dette des hôpitaux, le ramassage des ordures, l'appui aux éleveurs, entre autres.
Les députés ont voté , à l’unanimité, le projet de loi portant deuxième loi de finances rectificative pour l’année 2014.
APS
M. Bâ S’exprimait lors du vote, à l’Assemblée nationale, du projet de loi portant sur la deuxième loi de finances rectificative pour l’année 2014.
Il a soutenu que le gouvernement sénégalais a payé, il y a quelques jours, deux mois de salaires aux enseignants du SAES qui réclamaient, le 6 novembre dernier le paiement des salaires du mois d’octobre.
‘’Cette loi de finances va permettre de régler presque définitivement la question de l’enseignement supérieur’’, a soutenu Amadou Bâ, rappelant qu’à ''la date d’aujourd’hui (vendredi), toutes les bourses (d’étudiants) ont été payées''.
Il a indiqué que ''le gouvernement va aider, soutenir, encadrer le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour lui permettre de mener à bien les reformes entreprises dans ce secteur’’.
‘’Nous avons beaucoup de difficultés dans la gestion pratique du budget, mais nous travaillons pour la continuité de l’Etat’’ a-t-il dit.
Amadou Bâ aa en outre précisé que son département a besoin d’’’autorisations exceptionnelles’’ pour réduire le déficit budgétaire et améliorer la qualité des dépenses.
Le budget national 2014 devrait connaître une hausse de 38, 4 milliards de francs CFA au regard des projections de la seconde loi de finances rectificative, passant de 2685,9 milliards à 2724,317 milliards de francs CFA, soit une hausse de 1,4% en valeur relative.
Cette seconde loi de finances rectificative "a pour objectif le règlement des problèmes qui peuvent survenir dans l'exécution des budgets qui fait l'objet d'un suivi très serré de la part du ministère", indique le rapport par la commission de l'Economie générale, des Finances, du Plan et de la Coopération économique.
Cette loi "est un exercice réfléchi et s'avère indispensable" en ce qu'elle "permettra à l'Etat du Sénégal d'éviter une crise budgétaire et de régler les arriérés nés des gestions antérieures qui continuent à subsister", a explique le ministre de l'Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ, cité dans ce rapport.
Celle-ci "apporte des réponses aux préoccupations des Sénégalais notamment l'emploi des jeunes et la dotation en crédits budgétaires des projets exécutés par l'Agence nationale pour la promotion de l'emploi des jeunes (ANPEJ)", a-t-il précisé.
Elle permettra par ailleurs de prendre en charge des questions telles que l'assainissement de la situation financière des universités et des centres des œuvres universitaires, l'apurement de la dette des hôpitaux, le ramassage des ordures, l'appui aux éleveurs, entre autres.
Les députés ont voté , à l’unanimité, le projet de loi portant deuxième loi de finances rectificative pour l’année 2014.
APS