Selon un communiqué de presse, cette table ronde, qui s’inscrit dans le cadre de la Série de séminaires de l’Idep sur le développement, est une contribution de l’Institut à la Journée de l’Afrique célébrée chaque année le 25 mai et qui coïncide cette année avec le 60ème anniversaire de l’Organisation de l’union Africaine (Oua) devenue Union africaine (Ua), sous le slogan « Notre Afrique notre future ». Cet anniversaire coïncide aussi avec les 60 ans d’existence de l’Idep célébrée en 2023.
«La Zlecaf et le Mutaa sont liés et se renforcent mutuellement. La Zlecaf a entre autres objectifs spécifiques de contribuer à la circulation des capitaux et des personnes et de faciliter les investissements. Un fonctionnement efficace du MUTAA, quant à lui, permettrait aux habitants de la région de gagner en confort et en choix de compagnies aériennes, de réduire les temps de vol, d'opportunités d'affaires et de renforcer les liens culturels par le développement progressif du tourisme d'affaires et de loisirs », a souligné Karima Bounemra Ben Soltane, directrice de l’Idep.
Aminata Maiga, coordonnateur résident du Système des Nations Unies au Sénégal a salué la collaboration en cours entre l’Idep et les ambassadeurs du groupe africain. « Les objectifs de l’Union Africaine sont en droite ligne avec les Objectifs de développement durable (Odd). La mise en œuvre réussie de la Zlecaf nécessite une coordination étroite entre les Nations unies, l’Union africaine et les pays afin de garantir des politiques commerciales bénéfiques et durables ». Elle en outre déclaré que « Les Nations Unies continueront à se tenir aux côtés des peuples, des Nations et des Organisations régionales et continentales pour construire une Afrique prospère », a indiqué Mme Maiga.
« Il est inimaginable qu’on continue à avoir ces grandes difficultés pour passer d’une capitale à une autre en Afrique. Il y a un travail extraordinaire qui est fait à l’Union africaine et il serait temps que les diplomates s’approprient la Zlecaf et le Mutaa, deux problématiques étroitement liées et fondamentales pour notre continents », a relevé Michel Régis Onanga Mamadou Ndiaye, ambassadeur de la République du Gabon, doyen du groupe africain des ambassadeurs au Sénégal.
« Il y a beaucoup d’obstacles mais la Zlecaf offre des opportunités vers la création d’un marché unique en Afrique. Nous avons établi trois protocoles sur l’investissement, la concurrence et la propriété intellectuelle qui sont des piliers dans la mise œuvre et tout cela ne serait pas possible sans les partenaires qui se sont engagé à appuyer la Zlecaf afin que nous allions au-delà des accords commerciaux », a déclaré Wamkele Mene, secrétaire général de la Zlecaf.
A l'issue des échanges, les ambassadeurs ont appelé les pays à faire preuve de plus d'engagement pour lever les barrières existantes dans la mise en œuvre des deux projets. Une approche régionale est nécessaire pour sensibiliser et soutenir les États non performants. Le rôle du secteur privé et de la société civile a été jugé nécessaire pour l'accélération de la mise en œuvre de la Zlecaf et du Mutaa.
Adou FAYE
«La Zlecaf et le Mutaa sont liés et se renforcent mutuellement. La Zlecaf a entre autres objectifs spécifiques de contribuer à la circulation des capitaux et des personnes et de faciliter les investissements. Un fonctionnement efficace du MUTAA, quant à lui, permettrait aux habitants de la région de gagner en confort et en choix de compagnies aériennes, de réduire les temps de vol, d'opportunités d'affaires et de renforcer les liens culturels par le développement progressif du tourisme d'affaires et de loisirs », a souligné Karima Bounemra Ben Soltane, directrice de l’Idep.
Aminata Maiga, coordonnateur résident du Système des Nations Unies au Sénégal a salué la collaboration en cours entre l’Idep et les ambassadeurs du groupe africain. « Les objectifs de l’Union Africaine sont en droite ligne avec les Objectifs de développement durable (Odd). La mise en œuvre réussie de la Zlecaf nécessite une coordination étroite entre les Nations unies, l’Union africaine et les pays afin de garantir des politiques commerciales bénéfiques et durables ». Elle en outre déclaré que « Les Nations Unies continueront à se tenir aux côtés des peuples, des Nations et des Organisations régionales et continentales pour construire une Afrique prospère », a indiqué Mme Maiga.
« Il est inimaginable qu’on continue à avoir ces grandes difficultés pour passer d’une capitale à une autre en Afrique. Il y a un travail extraordinaire qui est fait à l’Union africaine et il serait temps que les diplomates s’approprient la Zlecaf et le Mutaa, deux problématiques étroitement liées et fondamentales pour notre continents », a relevé Michel Régis Onanga Mamadou Ndiaye, ambassadeur de la République du Gabon, doyen du groupe africain des ambassadeurs au Sénégal.
« Il y a beaucoup d’obstacles mais la Zlecaf offre des opportunités vers la création d’un marché unique en Afrique. Nous avons établi trois protocoles sur l’investissement, la concurrence et la propriété intellectuelle qui sont des piliers dans la mise œuvre et tout cela ne serait pas possible sans les partenaires qui se sont engagé à appuyer la Zlecaf afin que nous allions au-delà des accords commerciaux », a déclaré Wamkele Mene, secrétaire général de la Zlecaf.
A l'issue des échanges, les ambassadeurs ont appelé les pays à faire preuve de plus d'engagement pour lever les barrières existantes dans la mise en œuvre des deux projets. Une approche régionale est nécessaire pour sensibiliser et soutenir les États non performants. Le rôle du secteur privé et de la société civile a été jugé nécessaire pour l'accélération de la mise en œuvre de la Zlecaf et du Mutaa.
Adou FAYE