Ils sont 15 pays d’Afrique et d’Europe à prendre part à la 11ème édition d’Intermodal Africa 2013. Cette rencontre annuelle du monde maritime est un rendez-vous, pour faire le point des innovations sur les chaînes logistiques avec une série de conférences sur la compétitivité des terminaux portuaires.
Pour Momar Ngary Ba, directeur Commercial de la Coopération Internationale du Port Autonome de Dakar (PAD), « nos attentes pour cette rencontre est de tirer le maximum de profits des conférences et des réunions qui vont se tenir ». Selon lui, il n’est pas évident « de retrouver une centaine d’experts dans un même endroit, pour qu’il y ait un échange d’idées ». Il y’aura forcément « du capital à recueillir pour tirer des enseignements à l’avenir » souligne-t-il. De l’avis Momar Ngary Ba, « les plus grands défis du PAD restent la compétitivité par rapport à la concurrence ». C’est pourquoi, « il faudrait rationnaliser les ressources pour aboutir à des résultats positifs » a-t-il déclaré. Sur ce, le ministre de la Pêche et des Affaires maritimes, Pape Diouf indique « qu’avec le projet du Port du Futur, on aura des profondeurs de 15 mètres, ce qui permettra au PAD de recevoir des bateaux de dernière génération ».
Selon le ministre de la Pêche et des Affaires maritimes, la participation du PAD à cette rencontre du monde maritime est « d’une importance capitale du fait qu’il pourra tirer profit en matière d’expertise auprès de participants de renommée ». Aujourd’hui, « le Port Autonome de Dakar a fait de grands pas avec de grands partenaires », souligne Pape Diouf le ministre de la Pêche et des Affaires Maritimes. Mais « cela ne suffit pas, car la compétition se fait de plus en plus âpre à travers le monde » soutient-il. C’est pourquoi, « il faut assurer la sécurité et la rapidité en plus de la modernité, pour pouvoir accueillir dans les délais et dans les conditions de sécurité les transporteurs maritimes » estime Pape Diouf. Ce dernier, annonce que l’ambition de son département est de faire en sorte que le PAD « figure parmi les meilleurs ports de la sous-région ».
Aujourd’hui, 95% des transports passent par la voie maritime. Ce qui fait dire à Pape Diouf, qu’il est important pour le Sénégal « d’équiper davantage son port et d’en assurer la sécurité, ainsi de par sa position géographique, Dakar pourra être un hup pour le transport maritime et capter le maximum de trafic ». Cette 11ème édition comporte deux volets essentiels à savoir le volet exposition et le volet conférences. Ainsi, durant deux jours les exposants ont présenté leur savoir-faire sur les équipements portuaires. En parallèle, lors des conférences et des réunions, les participants ont échangé sur des thèmes d’actualités du monde maritime et des activités portuaires.
Amy Diallo
Pour Momar Ngary Ba, directeur Commercial de la Coopération Internationale du Port Autonome de Dakar (PAD), « nos attentes pour cette rencontre est de tirer le maximum de profits des conférences et des réunions qui vont se tenir ». Selon lui, il n’est pas évident « de retrouver une centaine d’experts dans un même endroit, pour qu’il y ait un échange d’idées ». Il y’aura forcément « du capital à recueillir pour tirer des enseignements à l’avenir » souligne-t-il. De l’avis Momar Ngary Ba, « les plus grands défis du PAD restent la compétitivité par rapport à la concurrence ». C’est pourquoi, « il faudrait rationnaliser les ressources pour aboutir à des résultats positifs » a-t-il déclaré. Sur ce, le ministre de la Pêche et des Affaires maritimes, Pape Diouf indique « qu’avec le projet du Port du Futur, on aura des profondeurs de 15 mètres, ce qui permettra au PAD de recevoir des bateaux de dernière génération ».
Selon le ministre de la Pêche et des Affaires maritimes, la participation du PAD à cette rencontre du monde maritime est « d’une importance capitale du fait qu’il pourra tirer profit en matière d’expertise auprès de participants de renommée ». Aujourd’hui, « le Port Autonome de Dakar a fait de grands pas avec de grands partenaires », souligne Pape Diouf le ministre de la Pêche et des Affaires Maritimes. Mais « cela ne suffit pas, car la compétition se fait de plus en plus âpre à travers le monde » soutient-il. C’est pourquoi, « il faut assurer la sécurité et la rapidité en plus de la modernité, pour pouvoir accueillir dans les délais et dans les conditions de sécurité les transporteurs maritimes » estime Pape Diouf. Ce dernier, annonce que l’ambition de son département est de faire en sorte que le PAD « figure parmi les meilleurs ports de la sous-région ».
Aujourd’hui, 95% des transports passent par la voie maritime. Ce qui fait dire à Pape Diouf, qu’il est important pour le Sénégal « d’équiper davantage son port et d’en assurer la sécurité, ainsi de par sa position géographique, Dakar pourra être un hup pour le transport maritime et capter le maximum de trafic ». Cette 11ème édition comporte deux volets essentiels à savoir le volet exposition et le volet conférences. Ainsi, durant deux jours les exposants ont présenté leur savoir-faire sur les équipements portuaires. En parallèle, lors des conférences et des réunions, les participants ont échangé sur des thèmes d’actualités du monde maritime et des activités portuaires.
Amy Diallo