« Qu'on le veuille ou non, l'augmentation des inégalités est devenue le visage de la mondialisation et a généré mécontentement, intolérance et instabilité sociale, notamment chez les jeunes », a affirmé le chef de l’ONU, devant les 46 États Membres et 13 membres associés de la CEPAL.
Selon António Guterres, même si plus de personnes que jamais sont sorties de l'extrême pauvreté, depuis plus d'une génération, le 1% les plus riches du monde a connu un taux de croissance deux fois supérieur à celui des 50% les plus pauvres.
« Les gens se demandent à juste titre ‘ Dans quel monde vivons-nous lorsqu’une poignée d’hommes accumulent la même richesse que la moitié de l’humanité ? », a poursuivi António Guterres, observant que les plus riches sont des hommes, mais aussi que l’inégalité des sexes se produit dans les milieux d’extrême richesse.
De la biotechnologie à l'intelligence artificielle, le Secrétaire général a souligné l'effet transformateur de la technologie sur nos modes de vie et de travail.
Le chef de l'ONU a ajouté que cette révolution doit représenter une source de bien-être et non un danger capable de produire des conséquences négatives pour les sociétés et les économies.
Pour le chef de l’ONU la relation entre les changements climatiques et les catastrophes causées par le climat est «évidente ».
Aussi, António Guterres a demandé d'instituer des mesures collectives pour atténuer les effets coûteux du changement climatique et « s'éloigner d'une voie menant au suicide ».
M. Guterres a estimé à 320 milliards de dollars le coût des catastrophes liées aux phénomènes météorologiques au cours de l'année écoulée et a rappelé qu'il avait convoqué un Sommet sur le climat en septembre 2019 à New York.
Devant les assises qui ont marqué le 70ème anniversaire de la CEPAL, le Secrétaire général s’est félicité que la Commission ait su, au cours des décennies, voir l’égalité comme un moteur de la croissance et du développement, en appréhendant l'égalité des droits dans leur sens le plus large : l'égalité économique, sociale et politique.
« Nous avons besoin d'une économie mondiale qui profite à tous et crée des opportunités pour tous », a dit M. Guterres. Il a déclaré que le Programme de développement durable à l'horizon 2030 est la feuille de route des Nations Unies pour éradiquer la pauvreté, et l’appui des commissions régionales est essentiel à sa mise en œuvre.
Un.org
Selon António Guterres, même si plus de personnes que jamais sont sorties de l'extrême pauvreté, depuis plus d'une génération, le 1% les plus riches du monde a connu un taux de croissance deux fois supérieur à celui des 50% les plus pauvres.
« Les gens se demandent à juste titre ‘ Dans quel monde vivons-nous lorsqu’une poignée d’hommes accumulent la même richesse que la moitié de l’humanité ? », a poursuivi António Guterres, observant que les plus riches sont des hommes, mais aussi que l’inégalité des sexes se produit dans les milieux d’extrême richesse.
De la biotechnologie à l'intelligence artificielle, le Secrétaire général a souligné l'effet transformateur de la technologie sur nos modes de vie et de travail.
Profiter du potentiel de la quatrième révolution industrielle tout en évitant ses risques
« Nous devons tirer parti du potentiel de la quatrième révolution industrielle et nous protéger, en même temps, des risques qu'elle présente. C'est probablement le défi le plus difficile que nous aurons à relever au cours des deux prochaines décennies », a-t-il déclaré.Le chef de l'ONU a ajouté que cette révolution doit représenter une source de bien-être et non un danger capable de produire des conséquences négatives pour les sociétés et les économies.
Pour le chef de l’ONU la relation entre les changements climatiques et les catastrophes causées par le climat est «évidente ».
Aussi, António Guterres a demandé d'instituer des mesures collectives pour atténuer les effets coûteux du changement climatique et « s'éloigner d'une voie menant au suicide ».
M. Guterres a estimé à 320 milliards de dollars le coût des catastrophes liées aux phénomènes météorologiques au cours de l'année écoulée et a rappelé qu'il avait convoqué un Sommet sur le climat en septembre 2019 à New York.
Devant les assises qui ont marqué le 70ème anniversaire de la CEPAL, le Secrétaire général s’est félicité que la Commission ait su, au cours des décennies, voir l’égalité comme un moteur de la croissance et du développement, en appréhendant l'égalité des droits dans leur sens le plus large : l'égalité économique, sociale et politique.
« Nous avons besoin d'une économie mondiale qui profite à tous et crée des opportunités pour tous », a dit M. Guterres. Il a déclaré que le Programme de développement durable à l'horizon 2030 est la feuille de route des Nations Unies pour éradiquer la pauvreté, et l’appui des commissions régionales est essentiel à sa mise en œuvre.
Un.org