‘’L’agence, conformément à sa vocation de promouvoir la recherche pour la placer au cœur du processus de développement, travaille à l’exploitation et à la valorisation des résultats de la recherche, ainsi qu’à la diffusion et à la vulgarisation des innovations technologiques auprès de nos concitoyens’’, a-t-il notamment dit.
S’expliquant à l’ouverture, à Saly-Portudal, d’un atelier de trois jours (7,8 et 9 mai), sur la révision des stratégies d’intervention et l’élaboration d’un plan d’actions prioritaires de l’ANRSA, Pr Lô a signalé que sa structure veut réaliser les engagements contenus dans le Plan Sénégal émergent (PSE), à travers son premier pilier, notamment ‘’la transformation structurelle de l’économie’’.
Ce pilier donne une importance particulière aux sciences, technologies et innovation pour l’atteinte des objectifs de développement à l’horizon 2035, a-t-il fait valoir, indiquant que l’ANRSA compte aussi, à travers un contrat de performance, adossé à son troisième plan de développement pour la période 2018-2022, s’inscrire dans la ligne des orientations stratégiques du Conseil présidentiel sur l’enseignement supérieur et la recherche (CPESR).
‘’La promotion de la recherche appliquée et l’utilisation des découvertes dans le monde économique cadrent parfaitement avec la décision N°8 du CPESR qui préconise, entre autres, l’articulation des grandes priorités de la recherche sénégalaise avec le projet de développement économique et social’’, a déclaré le DG de l’ANRSA.
D’après lui, son agence se veut ‘’une interface dynamique’’ entre les chercheurs, les populations et les secteurs public et privé, pour faire de la recherche appliquée ‘’un levier de développement socio-économique durable’’ et, pour ce faire, ‘’nouds ne devons point nous cloisonner car le champ de la recherche est vaste et ses ramifications multiples’’, a fait noter M. Lô.
‘’Avec la multiplicité des acteurs et le manque de coordination des activités du secteur, il est plus que jamais nécessaire de travailler en synergie pour atteindre les objectifs de développement durable par le biais de la recherche appliquée’’, a encore indiqué le DG de l’ANRSA.
‘’Pour que notre émergence soit effective, nous devons, forcément, plus investir dans la recherche et dans la vulgarisation des innovations technologiques. Sans cela, nous ne pourrons plus, à terme, justifier notre présence et notre rôle dans le futur village planétaire’’, a insisté M. Lô.
A son avis, il urge de mieux diffuser et de mieux promouvoir les opportunités offertes par la ‘’Recherche-action-développement’’, aussi bien en terme de technologies adaptées qu’en terme de sciences sociales pour booster les petites et moyennes entreprises et petites et moyennes industries (PME/PMI et, partant, le développement socio-économique des secteurs porteurs.
‘’Une plus grande appropriation des résultats de recherche et des innovations ainsi qu’une plus grande implication du secteur privé, dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP), reste l’option phare dans la stratégie de développement de nos secteurs porteurs’’, a-t-il fait noter.
L’accélération du processus d’émergence du Sénégal est ‘’un impératif ‘’, compte tenu des nombreux défis à relever dont la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) exige des connaissances suffisantes et des savoir-faire éprouvés, a estimé, pour sa part, le professeur Amadou Thierno Gaye, directeur général de la recherche et de l’innovation.
‘’L’accélération du processus d’émergence de notre pays est un impératif, compte tenu des nombreux défis à relever. C’est dans ce contexte que le Sénégal entreprend son développement en satisfaisant aux Objectifs du Développement Durable et aux politiques et stratégies régionales telles que l’agenda 2063, entre autres’’, a-t-il dit.
‘’Les politiques et stratégies en cours dans le système de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (ESRI) visent le développement accéléré du capital humain de qualité et disponible pour les besoins de notre émergence socio-économique et culturel, le développement d’infrastructures dont celui de la recherche, pour arriver aux innovations permettant la transformation structurelle de notre économie’’, a expliqué Pr Gaye.
Les Universités s’engagent, en plus de continuer à assurer une production et une transmission des connaissances, en adoptant de nouvelles méthodes en particulier le numérique, dans le service à la société, l’accompagnement à l’employabilité des jeunes et aussi le développement de l’innovation. L’élargissement de la carte universitaire à l’ensemble du territoire national participe de cela, a-t-il indiqué.
‘’Plusieurs innovations sont notables dont la création de l’Université Virtuelle du Sénégal (UVS) avec le réseau des Espaces Numériques Ouverts (ENO), la construction de nouvelles universités (UAM, USSEIN) d’Instituts supérieurs de Formation Professionnelle (ISEP)’’, a fait valoir le DG de la recherche et de l’innovation.
La construction en cours de la ‘’Cité du Savoir’’ à Diamniadio, qui va abriter des plateformes de recherche de pointe (génétique moléculaire, sciences des matériaux, calculateur haute performance, et le développement de filières telles que le big data, les nanotechnologies, la robotique, les sciences et techniques spatiales) et des formations dans ces domaines, robotique, big data, nanotechnologie, cybersécurité, etc… deviendra bientôt une réalité, a-t-il promis.
‘’Les formations qui seront offertes dans la +Cité du Savoir permettront de réaliser l’ambition forte de disposer très rapidement de chercheurs, ingénieurs et techniciens, capables de mener à bien aussi bien des programmes de recherche et développement, pour favoriser la création d’innovations, en relation avec l’entreprise, la création d’entreprises innovantes et de trouver les solutions aux problèmes du monde socio-économique.
Pour arriver à l’émergence, il s’agira, ‘’nécessairement’’, à l’en croire, de promouvoir ‘’une meilleure coordination de la production’’ et de la dissémination des résultats de la recherche, un fonctionnement plus efficient des institutions de recherche mais aussi, de recentrer et de prioriser les activités de recherche et développement. Dans cette entreprise, la mutualisation des efforts, des ressources humaines, matérielles et financières est une condition sine qua none pour l’efficacité des programmes et activités, a souligné le Pr Gaye.
Serigne Makhtar Fall
S’expliquant à l’ouverture, à Saly-Portudal, d’un atelier de trois jours (7,8 et 9 mai), sur la révision des stratégies d’intervention et l’élaboration d’un plan d’actions prioritaires de l’ANRSA, Pr Lô a signalé que sa structure veut réaliser les engagements contenus dans le Plan Sénégal émergent (PSE), à travers son premier pilier, notamment ‘’la transformation structurelle de l’économie’’.
Ce pilier donne une importance particulière aux sciences, technologies et innovation pour l’atteinte des objectifs de développement à l’horizon 2035, a-t-il fait valoir, indiquant que l’ANRSA compte aussi, à travers un contrat de performance, adossé à son troisième plan de développement pour la période 2018-2022, s’inscrire dans la ligne des orientations stratégiques du Conseil présidentiel sur l’enseignement supérieur et la recherche (CPESR).
‘’La promotion de la recherche appliquée et l’utilisation des découvertes dans le monde économique cadrent parfaitement avec la décision N°8 du CPESR qui préconise, entre autres, l’articulation des grandes priorités de la recherche sénégalaise avec le projet de développement économique et social’’, a déclaré le DG de l’ANRSA.
D’après lui, son agence se veut ‘’une interface dynamique’’ entre les chercheurs, les populations et les secteurs public et privé, pour faire de la recherche appliquée ‘’un levier de développement socio-économique durable’’ et, pour ce faire, ‘’nouds ne devons point nous cloisonner car le champ de la recherche est vaste et ses ramifications multiples’’, a fait noter M. Lô.
‘’Avec la multiplicité des acteurs et le manque de coordination des activités du secteur, il est plus que jamais nécessaire de travailler en synergie pour atteindre les objectifs de développement durable par le biais de la recherche appliquée’’, a encore indiqué le DG de l’ANRSA.
‘’Pour que notre émergence soit effective, nous devons, forcément, plus investir dans la recherche et dans la vulgarisation des innovations technologiques. Sans cela, nous ne pourrons plus, à terme, justifier notre présence et notre rôle dans le futur village planétaire’’, a insisté M. Lô.
A son avis, il urge de mieux diffuser et de mieux promouvoir les opportunités offertes par la ‘’Recherche-action-développement’’, aussi bien en terme de technologies adaptées qu’en terme de sciences sociales pour booster les petites et moyennes entreprises et petites et moyennes industries (PME/PMI et, partant, le développement socio-économique des secteurs porteurs.
‘’Une plus grande appropriation des résultats de recherche et des innovations ainsi qu’une plus grande implication du secteur privé, dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP), reste l’option phare dans la stratégie de développement de nos secteurs porteurs’’, a-t-il fait noter.
L’accélération du processus d’émergence du Sénégal est ‘’un impératif ‘’, compte tenu des nombreux défis à relever dont la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) exige des connaissances suffisantes et des savoir-faire éprouvés, a estimé, pour sa part, le professeur Amadou Thierno Gaye, directeur général de la recherche et de l’innovation.
‘’L’accélération du processus d’émergence de notre pays est un impératif, compte tenu des nombreux défis à relever. C’est dans ce contexte que le Sénégal entreprend son développement en satisfaisant aux Objectifs du Développement Durable et aux politiques et stratégies régionales telles que l’agenda 2063, entre autres’’, a-t-il dit.
‘’Les politiques et stratégies en cours dans le système de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (ESRI) visent le développement accéléré du capital humain de qualité et disponible pour les besoins de notre émergence socio-économique et culturel, le développement d’infrastructures dont celui de la recherche, pour arriver aux innovations permettant la transformation structurelle de notre économie’’, a expliqué Pr Gaye.
Les Universités s’engagent, en plus de continuer à assurer une production et une transmission des connaissances, en adoptant de nouvelles méthodes en particulier le numérique, dans le service à la société, l’accompagnement à l’employabilité des jeunes et aussi le développement de l’innovation. L’élargissement de la carte universitaire à l’ensemble du territoire national participe de cela, a-t-il indiqué.
‘’Plusieurs innovations sont notables dont la création de l’Université Virtuelle du Sénégal (UVS) avec le réseau des Espaces Numériques Ouverts (ENO), la construction de nouvelles universités (UAM, USSEIN) d’Instituts supérieurs de Formation Professionnelle (ISEP)’’, a fait valoir le DG de la recherche et de l’innovation.
La construction en cours de la ‘’Cité du Savoir’’ à Diamniadio, qui va abriter des plateformes de recherche de pointe (génétique moléculaire, sciences des matériaux, calculateur haute performance, et le développement de filières telles que le big data, les nanotechnologies, la robotique, les sciences et techniques spatiales) et des formations dans ces domaines, robotique, big data, nanotechnologie, cybersécurité, etc… deviendra bientôt une réalité, a-t-il promis.
‘’Les formations qui seront offertes dans la +Cité du Savoir permettront de réaliser l’ambition forte de disposer très rapidement de chercheurs, ingénieurs et techniciens, capables de mener à bien aussi bien des programmes de recherche et développement, pour favoriser la création d’innovations, en relation avec l’entreprise, la création d’entreprises innovantes et de trouver les solutions aux problèmes du monde socio-économique.
Pour arriver à l’émergence, il s’agira, ‘’nécessairement’’, à l’en croire, de promouvoir ‘’une meilleure coordination de la production’’ et de la dissémination des résultats de la recherche, un fonctionnement plus efficient des institutions de recherche mais aussi, de recentrer et de prioriser les activités de recherche et développement. Dans cette entreprise, la mutualisation des efforts, des ressources humaines, matérielles et financières est une condition sine qua none pour l’efficacité des programmes et activités, a souligné le Pr Gaye.
Serigne Makhtar Fall