Bassirou Diomay Diakhar Faye qui a présidé lundi, 21 octobre 2024 au Centre international de conférence Abdou Diouf à Diamniadio, la cérémonie d’ouverture des états généraux des transports publics a soutenu que « l’observation des faits nous permet d'affirmer avec force que les accidents de la route ne sont pas une fatalité ».
« Non, ce n’est pas une fatalité ! Si bien sûr, nous acceptons de faire notre introspection », a insisté le chef de l’Etat.
A l’en croire, ce qui se produit sur nos routes n’est pas une conséquence inéluctable. Il a déclaré en ce sens que ces drames sont souvent le résultat de comportements humains inadéquats et de manquements à des règles de sécurité élémentaires.
Par conséquent, le président Faye a indiqué qu’il est impératif que chacun, en particulier les acteurs socio-professionnels du transport public routier, s'engage dans une introspection sincère et une prise de conscience de ses responsabilités.
Dans le même sillage, il a souligné qu’au Sénégal, la mobilité des personnes en toute sécurité et sûreté demeure un défi permanent. En effet, il a confié que malgré l'amélioration de la qualité de nos infrastructures routières, les accidents continuent de faire des victimes.
De plus, le chef de l’Etat a renseigné que les embouteillages chroniques, particulièrement à Dakar, occasionnent des pertes de temps considérables, malgré les efforts déployés dans la construction de routes, de ponts et la réalisation de projets de transport urbain de masse.
Il a rappelé que l’insécurité routière et son impact socio-économique, tout comme la question cruciale de la régulation du transport public, sont des priorités de premier ordre pour son gouvernement.
Il a invité les participants de ces états généraux à « dresser un diagnostic complet et sans complaisance des différents sous-secteurs du transport public routier, ferroviaire et aérien ».
Il les a également demandés de définir les contours d'un système de transport inclusif et durable, capable de prendre en charge les nouvelles formes de mobilité, qu’elles soient électriques ou digitales, tout en reposant sur une réhabilitation stratégique du chemin de fer, comme solution alternative aux routes, afin de réduire leur pression et de les préserver.
Bassirou MBAYE
« Non, ce n’est pas une fatalité ! Si bien sûr, nous acceptons de faire notre introspection », a insisté le chef de l’Etat.
A l’en croire, ce qui se produit sur nos routes n’est pas une conséquence inéluctable. Il a déclaré en ce sens que ces drames sont souvent le résultat de comportements humains inadéquats et de manquements à des règles de sécurité élémentaires.
Par conséquent, le président Faye a indiqué qu’il est impératif que chacun, en particulier les acteurs socio-professionnels du transport public routier, s'engage dans une introspection sincère et une prise de conscience de ses responsabilités.
Dans le même sillage, il a souligné qu’au Sénégal, la mobilité des personnes en toute sécurité et sûreté demeure un défi permanent. En effet, il a confié que malgré l'amélioration de la qualité de nos infrastructures routières, les accidents continuent de faire des victimes.
De plus, le chef de l’Etat a renseigné que les embouteillages chroniques, particulièrement à Dakar, occasionnent des pertes de temps considérables, malgré les efforts déployés dans la construction de routes, de ponts et la réalisation de projets de transport urbain de masse.
Il a rappelé que l’insécurité routière et son impact socio-économique, tout comme la question cruciale de la régulation du transport public, sont des priorités de premier ordre pour son gouvernement.
Il a invité les participants de ces états généraux à « dresser un diagnostic complet et sans complaisance des différents sous-secteurs du transport public routier, ferroviaire et aérien ».
Il les a également demandés de définir les contours d'un système de transport inclusif et durable, capable de prendre en charge les nouvelles formes de mobilité, qu’elles soient électriques ou digitales, tout en reposant sur une réhabilitation stratégique du chemin de fer, comme solution alternative aux routes, afin de réduire leur pression et de les préserver.
Bassirou MBAYE