Devenu une place bancaire incontestable dans la zone UEMOA avec des banques qui fleurissent comme des champignons. Le Sénégal s’illustre aussi dans les prêts bancaires accordés aux clients. Selon le rapport de la BCEAO sur la situation des banques, en 2014, les banques ont approuvé 606.701 dossiers de crédits, soit une augmentation de 2,29% par rapport à l'année précédente. Mais le fait saillant, c’est que le Sénégal se distingue avec 25,01%, la Côte d'Ivoire se positionne en seconde place avec 19,88% et le Mali 17,3% sont les pays où les banques ont approuvé le plus de dossiers de crédits.
En revanche, constate le rapport, la Guinée-Bissau semble trainer les pieds avec 0,26% et le Bénin 4,61% sont les pays qui ont enregistré le moins de dossiers approuvés par les banques.
En ce qui concerne les financements mobilisés par ces dossiers, le Sénégal s’illustre aussi à côté de la Côte d'Ivoire qui totalise 31,46% contre le Sénégal 23,96% et le Burkina 16,68% sont les pays où les montants octroyés ont été plus importants. En Guinée-Bissau, au Niger et au Togo, les ressources mobilisées ont été nettement moindres. Les données disponibles montrent que le montant moyen des ressources mobilisées par demandeur de crédit bancaire est plus important en Guinée Bissau et au Bénin, du fait de la concentration des mises en place de crédits autour des entreprises privées du secteur productif.
Au Niger et au Togo, le montant moyen de ressources mobilisées par demandeur de crédit bancaire est plus faible, du fait de la proportion relativement importante des particuliers dans la clientèle des banques.
Pathé TOURE
En revanche, constate le rapport, la Guinée-Bissau semble trainer les pieds avec 0,26% et le Bénin 4,61% sont les pays qui ont enregistré le moins de dossiers approuvés par les banques.
En ce qui concerne les financements mobilisés par ces dossiers, le Sénégal s’illustre aussi à côté de la Côte d'Ivoire qui totalise 31,46% contre le Sénégal 23,96% et le Burkina 16,68% sont les pays où les montants octroyés ont été plus importants. En Guinée-Bissau, au Niger et au Togo, les ressources mobilisées ont été nettement moindres. Les données disponibles montrent que le montant moyen des ressources mobilisées par demandeur de crédit bancaire est plus important en Guinée Bissau et au Bénin, du fait de la concentration des mises en place de crédits autour des entreprises privées du secteur productif.
Au Niger et au Togo, le montant moyen de ressources mobilisées par demandeur de crédit bancaire est plus faible, du fait de la proportion relativement importante des particuliers dans la clientèle des banques.
Pathé TOURE