« Nous avons considéré qu’il y a dans la vie de tous les jours, des préoccupations environnementales fortes et il fallait, pour nous, aller chercher l’accréditation en satisfaisant, sur trois années, avec des efforts importants, l’ensemble des critères exigés par le Fonds vert climat », confie le directeur général de La Banque Agricole.
Invité de l’émission Ecodev de la Rfm, Malick Ndiaye rappelle que c’est au mois d’août dernier 2020, que le Fonds vert climat, à l’occasion de son Conseil d’administration, a officiellement accepté le dossier de La Banque Agricole, ce qui permet cette dernière un « accès direct aux ressources du Fvc » mais également de lui soumettre des projets.
Malick Ndiaye indique dans la foulée : « Nous avons pensé qu’il était important de faire ce saut pour non seulement renforcer notre performance dans ce domaine mais aussi permettre au Sénégal, (parce que c’est une compétition mondiale), de pouvoir soumettre des projets de qualité qui lui faciliteront l’atteinte de ses objectifs en termes d’engagement-climat pour baisser, chaque année, les gaz à effet de serre et à maitriser son bilan carbone pour le rendre beaucoup plus conforme par rapport aux attentes des accords de Paris et d’autres accords précédents.
Avec notre accréditation, soutient-il, nous aidons le gouvernement du Sénégal à satisfaire ces exigences qui sont des engagements de haut niveau pris par les chefs de l’Etat au travers des accords de Paris. Dans la même lancée, M. Ndiaye révèle qu’« avant même d’avoir terminé notre processus d’accréditation, nous avions été coopté par le Fonds vert climat en tant qu’entité capable de gérer des ressources pour le compte du Fvc dans le cadre de ce qu’on appelle un -readyness- ».
Pour lui, ce « readyness » est un programme de préparation pour le Sénégal pour ces deux prochaines années dans le but de faire en sorte que le secteur privé soit accompagné mais également que des entités du pays qui veulent obtenir l’accréditation du Fvc, comme le Fongip et le Fonsis, soient appuyées grâce à notre expérience.
Par ailleurs, le Dg de LBA souligne que « l’émergence du Sénégal ne peut s’imaginer que si elle est verte ». C’est-à-dire, explique-t-il, une émergence qui préserve l’environnement, crée des conditions d’une exploitation durable et permet aux générations futures de vivre dans nos contrées sans difficultés.
Il y a un nouveau type d’instrument de financement qui va apparaitre, le financement des stocks qui, d’après lui, souffre dans l’environnement actuel et cela participe de la même démarche de faire en sorte que nous puissions faire bénéficier à l’économie nationale de l’ensemble des outils de financement nécessaires, modernes mais aussi qui respectent l’environnement en termes de préservation des acquis climatiques.
Bassirou MBAYE
Invité de l’émission Ecodev de la Rfm, Malick Ndiaye rappelle que c’est au mois d’août dernier 2020, que le Fonds vert climat, à l’occasion de son Conseil d’administration, a officiellement accepté le dossier de La Banque Agricole, ce qui permet cette dernière un « accès direct aux ressources du Fvc » mais également de lui soumettre des projets.
Malick Ndiaye indique dans la foulée : « Nous avons pensé qu’il était important de faire ce saut pour non seulement renforcer notre performance dans ce domaine mais aussi permettre au Sénégal, (parce que c’est une compétition mondiale), de pouvoir soumettre des projets de qualité qui lui faciliteront l’atteinte de ses objectifs en termes d’engagement-climat pour baisser, chaque année, les gaz à effet de serre et à maitriser son bilan carbone pour le rendre beaucoup plus conforme par rapport aux attentes des accords de Paris et d’autres accords précédents.
Avec notre accréditation, soutient-il, nous aidons le gouvernement du Sénégal à satisfaire ces exigences qui sont des engagements de haut niveau pris par les chefs de l’Etat au travers des accords de Paris. Dans la même lancée, M. Ndiaye révèle qu’« avant même d’avoir terminé notre processus d’accréditation, nous avions été coopté par le Fonds vert climat en tant qu’entité capable de gérer des ressources pour le compte du Fvc dans le cadre de ce qu’on appelle un -readyness- ».
Pour lui, ce « readyness » est un programme de préparation pour le Sénégal pour ces deux prochaines années dans le but de faire en sorte que le secteur privé soit accompagné mais également que des entités du pays qui veulent obtenir l’accréditation du Fvc, comme le Fongip et le Fonsis, soient appuyées grâce à notre expérience.
Par ailleurs, le Dg de LBA souligne que « l’émergence du Sénégal ne peut s’imaginer que si elle est verte ». C’est-à-dire, explique-t-il, une émergence qui préserve l’environnement, crée des conditions d’une exploitation durable et permet aux générations futures de vivre dans nos contrées sans difficultés.
Il y a un nouveau type d’instrument de financement qui va apparaitre, le financement des stocks qui, d’après lui, souffre dans l’environnement actuel et cela participe de la même démarche de faire en sorte que nous puissions faire bénéficier à l’économie nationale de l’ensemble des outils de financement nécessaires, modernes mais aussi qui respectent l’environnement en termes de préservation des acquis climatiques.
Bassirou MBAYE