Cet atelier qui s’inscrit dans la dynamique de lutte contre les changements climatiques fait partie du projet intitulé « Faciliter la gestion des connaissances pour la planification de l'adaptation en Afrique » qui est financé par le Centre mondial sur l'adaptation (Global center for adaptation ; Gca).
Selon Kelvin Shikuku, économiste à ILRI qui a fait une présentation sur les outils de la planification de l’adaptation, l'objectif du projet est d'améliorer la résilience des systèmes agricoles et des moyens de subsistance face au changement climatique « grâce à l'utilisation à grande échelle d'outils de planification de l'adaptation appropriés ».
La réunion a permis de présenter et discuter d'un inventaire des outils et du cadre de planification de l'adaptation qu'une équipe de chercheurs de l'ILRI a produit.
Cela a été suivi par un exercice participatif au cours duquel les participants ont été invités à évaluer et hiérarchiser les outils et les cadres les plus adaptés à la planification de l'adaptation au Sénégal.
M. Shikuku a montré dans sa présentation que le Sénégal est classé 137e sur 185 pays en matière de préparation à l’adaptation au climat.
Il a indiqué dans la foulée que le coût de l’inaction face au changement climatique est déjà énorme et ne fera qu’augmenter. Par conséquent, Kelvin Shikuku a souligné que l’adaptation au changement climatique joue un rôle essentiel dans la réduction des risques liés au climat, au même titre que l’atténuation et le développement durable.
Par ailleurs, Omar Konté, chef du département recherche et développement à l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), a soutenu que le Sénégal est marqué par une forte variabilité des climats et cela a des répercussions sur tous les systèmes alimentaires, les infrastructures, sur pas mal de dispositifs mis en place dans le pays.
A ce titre, il a souligné « la nécessité d’apporter une réponse adéquate du point de vue de la planification, de la mise en œuvre. A l’en croire, on ne peut pas y arriver « sans une information scientifique bien étayée et bien éclairée ».
Pour apporter une réponse adéquate, M. Konté a relevé la nécessité de disposer d’outils et de stratégies dans le dessein de mieux planifier les actions relatives à l’adaptation au changement climatique.
Bassirou MBAYE
Selon Kelvin Shikuku, économiste à ILRI qui a fait une présentation sur les outils de la planification de l’adaptation, l'objectif du projet est d'améliorer la résilience des systèmes agricoles et des moyens de subsistance face au changement climatique « grâce à l'utilisation à grande échelle d'outils de planification de l'adaptation appropriés ».
La réunion a permis de présenter et discuter d'un inventaire des outils et du cadre de planification de l'adaptation qu'une équipe de chercheurs de l'ILRI a produit.
Cela a été suivi par un exercice participatif au cours duquel les participants ont été invités à évaluer et hiérarchiser les outils et les cadres les plus adaptés à la planification de l'adaptation au Sénégal.
M. Shikuku a montré dans sa présentation que le Sénégal est classé 137e sur 185 pays en matière de préparation à l’adaptation au climat.
Il a indiqué dans la foulée que le coût de l’inaction face au changement climatique est déjà énorme et ne fera qu’augmenter. Par conséquent, Kelvin Shikuku a souligné que l’adaptation au changement climatique joue un rôle essentiel dans la réduction des risques liés au climat, au même titre que l’atténuation et le développement durable.
Par ailleurs, Omar Konté, chef du département recherche et développement à l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), a soutenu que le Sénégal est marqué par une forte variabilité des climats et cela a des répercussions sur tous les systèmes alimentaires, les infrastructures, sur pas mal de dispositifs mis en place dans le pays.
A ce titre, il a souligné « la nécessité d’apporter une réponse adéquate du point de vue de la planification, de la mise en œuvre. A l’en croire, on ne peut pas y arriver « sans une information scientifique bien étayée et bien éclairée ».
Pour apporter une réponse adéquate, M. Konté a relevé la nécessité de disposer d’outils et de stratégies dans le dessein de mieux planifier les actions relatives à l’adaptation au changement climatique.
Bassirou MBAYE