Dans son dernier rapport, le World economic forum (WEF), une fondation suisse spécialisée dans les questions économiques, a indiqué formellement que le continent africain ne doit pas cette conjoncture meilleure à sa compétitivité. En clair, la croissance africaine de ces dernières années n'est pas le fruit de la compétitivité. Sur ce plan, a noté le WEF, le continent africain reste à la traîne.
Dans son classement qui paraît chaque année, il a révélé que quatorze économies africaines bien cotées dans la région occupent malgré tout les vingt dernières positions dans le monde. Or, a martelé le WEF, les changements d'envergure ne pourront être apportés dans le continent africain et dans la vie de ses habitants si l'ensemble de la région devient plus compétitive sur le long terme. Le défi des prochaines années devra être de renforcer cette compétitivité.
Pour autant, l'on reconnaît la difficulté d'arriver à une évaluation objective du niveau de compétitivité d'un pays. Face à cette préoccupation, certains experts de la région ont soutenu que le nombre de PME créées en une année peut constituer à n'en point douter un indicateur de taille.
Les Dépêches de Brazaville
Dans son classement qui paraît chaque année, il a révélé que quatorze économies africaines bien cotées dans la région occupent malgré tout les vingt dernières positions dans le monde. Or, a martelé le WEF, les changements d'envergure ne pourront être apportés dans le continent africain et dans la vie de ses habitants si l'ensemble de la région devient plus compétitive sur le long terme. Le défi des prochaines années devra être de renforcer cette compétitivité.
Pour autant, l'on reconnaît la difficulté d'arriver à une évaluation objective du niveau de compétitivité d'un pays. Face à cette préoccupation, certains experts de la région ont soutenu que le nombre de PME créées en une année peut constituer à n'en point douter un indicateur de taille.
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