Le communiqué indique que « d’après Sumesh Rahavendra, Responsable marketing pour DHL Express, Afrique subsaharienne (ASS) , même si l’intérêt croissant manifesté par les acteurs mondiaux est bénéfique et génère des investissements étrangers si nécessaires, les entreprises locales doivent également être incitées à mettre à profit la croissance économique du continent ».
« La semaine dernière, l’étude Africa Attractiveness 2014 menée par Ernst & Young a révélé que l’Afrique était devenue la deuxième destination la plus attrayante au monde pour les investissements, alors qu’elle occupait la troisième place à partir des derniers en 2011 annonce - t-on dans le texte.
On ajoute dans le document que en 2013, la part de l’investissement direct étranger (IDE) mondial de l’Afrique avait atteint 5,7 %, son niveau le plus élevé des dix dernières années ».
Selon Rahavendra, « la croissance de l’Afrique a bien été documentée ces dix dernières années et le continent est devenu l’une des frontières les plus importantes pour les échanges et l’investissement ». Il indique des chiffres récents du Fonds monétaire international (FMI), qui illustrent également l’envol de l’Afrique. Sa dernière étude Regional Economic Outlook: Sub-Saharan Africa (SSA) April 2014 (Perspectives économiques régionales : Afrique subsaharienne (ASS), avril 2014), a révélé que la croissance réelle du PIB en ASS devrait être de 5,4 % cette année », révèle la même source.
Il ajoute que cette prévision de croissance économique globale est dépassée par de nombreuses perspectives des pays africains, en particulier les États à faibles revenus, tels que le Rwanda et la Sierra Leone, qui devraient connaître une croissance de 7,5 % et 13,9 %. »
Selon le texte, « L’étude Africa Attractiveness 2014 a révélé que l’Afrique du Sud demeurait la destination la plus importante pour les projets d’IDE ; toutefois, des pays tels que le Ghana, le Nigeria, le Kenya, le Mozambique, la Tanzanie et l’Ouganda sont devenus plus présents sur les radars des investisseurs ».
Ndeye Maguette Kébé
« La semaine dernière, l’étude Africa Attractiveness 2014 menée par Ernst & Young a révélé que l’Afrique était devenue la deuxième destination la plus attrayante au monde pour les investissements, alors qu’elle occupait la troisième place à partir des derniers en 2011 annonce - t-on dans le texte.
On ajoute dans le document que en 2013, la part de l’investissement direct étranger (IDE) mondial de l’Afrique avait atteint 5,7 %, son niveau le plus élevé des dix dernières années ».
Selon Rahavendra, « la croissance de l’Afrique a bien été documentée ces dix dernières années et le continent est devenu l’une des frontières les plus importantes pour les échanges et l’investissement ». Il indique des chiffres récents du Fonds monétaire international (FMI), qui illustrent également l’envol de l’Afrique. Sa dernière étude Regional Economic Outlook: Sub-Saharan Africa (SSA) April 2014 (Perspectives économiques régionales : Afrique subsaharienne (ASS), avril 2014), a révélé que la croissance réelle du PIB en ASS devrait être de 5,4 % cette année », révèle la même source.
Il ajoute que cette prévision de croissance économique globale est dépassée par de nombreuses perspectives des pays africains, en particulier les États à faibles revenus, tels que le Rwanda et la Sierra Leone, qui devraient connaître une croissance de 7,5 % et 13,9 %. »
Selon le texte, « L’étude Africa Attractiveness 2014 a révélé que l’Afrique du Sud demeurait la destination la plus importante pour les projets d’IDE ; toutefois, des pays tels que le Ghana, le Nigeria, le Kenya, le Mozambique, la Tanzanie et l’Ouganda sont devenus plus présents sur les radars des investisseurs ».
Ndeye Maguette Kébé