Citigroup est arrivé en tête des institutions bancaires qui ont arrangé des opérations de levée de fonds par dette en Afrique subsaharienne, au terme des 9 premiers mois de l'année 2021. La filiale du groupe américain a arrangé pour 5,9 milliards $ de ressources mobilisées dans la région, selon des informations publiées par Refinitiv, la plateforme des données du groupe médiatique Reuters.
Cette performance représente une hausse de 269% par rapport à celle de la même période en 2020, et le groupe financier pesait à fin septembre 2021, pour 16% de la dette en Afrique subsaharienne. Il a ainsi 17 transactions, en hausse de 240%. Il faut aussi noter que sur les 9 premiers mois de 2020, il avait seulement travaillé sur la mobilisation de 1,6 milliard $, en baisse de 19% par rapport à la même période en 2019.
Cette évolution est parallèle à la stratégie qui a consisté pour l'entreprise financière à renforcer son positionnement sur le continent africain. En juillet 2021, Bloomberg citant le directeur en Afrique subsaharienne de la banque basée à New York, Akin Dawodu, informait de ce qu'il était prévu une augmentation de 10% des effectifs dans la région. « Nous cherchons à renforcer les capacités de nos équipes de couverture ainsi que celles de nos services bancaires aux entreprises et de nos activités de marché », expliquait-il.
Rappelons qu'en 2020, Citigroup avait occupé le troisième rang en termes de valeur des transactions de dette arrangées en Afrique subsaharienne. Si le groupe reprend la tête en termes de fonds levés, il doit encore reprendre le leadership sur le plan du chiffre d'affaires généré. Les 19,1 millions $ de revenus générés sont en hausse de 191,2%, mais Bank of America Securities avec ses 22,6 millions $ vient en tête sur ce segment. Aussi, Standard Chartered Bank a réalisé le plus gros volume de transactions (20) et la meilleure progression des fonds mobilisés (+556%).
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Cette performance représente une hausse de 269% par rapport à celle de la même période en 2020, et le groupe financier pesait à fin septembre 2021, pour 16% de la dette en Afrique subsaharienne. Il a ainsi 17 transactions, en hausse de 240%. Il faut aussi noter que sur les 9 premiers mois de 2020, il avait seulement travaillé sur la mobilisation de 1,6 milliard $, en baisse de 19% par rapport à la même période en 2019.
Cette évolution est parallèle à la stratégie qui a consisté pour l'entreprise financière à renforcer son positionnement sur le continent africain. En juillet 2021, Bloomberg citant le directeur en Afrique subsaharienne de la banque basée à New York, Akin Dawodu, informait de ce qu'il était prévu une augmentation de 10% des effectifs dans la région. « Nous cherchons à renforcer les capacités de nos équipes de couverture ainsi que celles de nos services bancaires aux entreprises et de nos activités de marché », expliquait-il.
Rappelons qu'en 2020, Citigroup avait occupé le troisième rang en termes de valeur des transactions de dette arrangées en Afrique subsaharienne. Si le groupe reprend la tête en termes de fonds levés, il doit encore reprendre le leadership sur le plan du chiffre d'affaires généré. Les 19,1 millions $ de revenus générés sont en hausse de 191,2%, mais Bank of America Securities avec ses 22,6 millions $ vient en tête sur ce segment. Aussi, Standard Chartered Bank a réalisé le plus gros volume de transactions (20) et la meilleure progression des fonds mobilisés (+556%).
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