« Chaque année, nous sommes témoins des effets dévastateurs de la faim sur des familles, des communautés et des économies entières » a déclaré Mme Ertharin Cousin directrice exécutive du PAM. Elle estime toutefois que « malgré les crises terribles qui frappent des régions entières, nous faisons de vrais progrès dans notre lutte contre la faim et la malnutrition chronique ». Selon le PAM, grâce au travail accompli avec ses partenaires pour mieux aborder les crises, soutenir l’agriculture familiale, apporter une assistance nutritionnelle notamment pendant les 1000 premiers jours de la vie d’un enfant, et développer la résilience des communautés, des millions de personnes peuvent maintenant se concentrer sur la construction d’un avenir sans faim, pour eux et pour la prochaine génération.
Selon le rapport « L’état de l’insécurité alimentaire dans le monde 2014 », le nombre de personnes souffrant de la faim a baissé de 37 millions pour atteindre 805 millions de personnes, et 63 pays ont atteint l’objectif international de réduction de la faim avant 2015. Selon le PMA, c’est la preuve que des progrès sont possibles lorsque les gouvernements, les organisations humanitaires et le secteur privé s’unissent pour accomplir ensemble des changements durables.
De récentes études ont souligné l’effet dévastateur que la faim et la sous-nutrition peuvent avoir sur la vie des individus, des communautés et des économies nationales.
Le PAM note par ailleurs que les informations collectées par l’étude « Le coût de la faim en Afrique » ont montré que la faim peut réduire la main-d'œuvre d'un pays de 9,4% et le PIB national jusqu'à 16,5%, limitant ainsi la capacité des pays à faire les investissements nécessaires pour se développer.
« Cela montre pourquoi la communauté internationale doit continuer à œuvrer pour un monde où la faim aura disparu, un monde dans lequel les enfants et leurs familles pourront construire leur futur et où les agriculteurs pourront subvenir à leurs besoins et aider leur communauté à devenir autonome », a déclaré Ertharin Cousin.
El Hadj Diakhaté
Selon le rapport « L’état de l’insécurité alimentaire dans le monde 2014 », le nombre de personnes souffrant de la faim a baissé de 37 millions pour atteindre 805 millions de personnes, et 63 pays ont atteint l’objectif international de réduction de la faim avant 2015. Selon le PMA, c’est la preuve que des progrès sont possibles lorsque les gouvernements, les organisations humanitaires et le secteur privé s’unissent pour accomplir ensemble des changements durables.
De récentes études ont souligné l’effet dévastateur que la faim et la sous-nutrition peuvent avoir sur la vie des individus, des communautés et des économies nationales.
Le PAM note par ailleurs que les informations collectées par l’étude « Le coût de la faim en Afrique » ont montré que la faim peut réduire la main-d'œuvre d'un pays de 9,4% et le PIB national jusqu'à 16,5%, limitant ainsi la capacité des pays à faire les investissements nécessaires pour se développer.
« Cela montre pourquoi la communauté internationale doit continuer à œuvrer pour un monde où la faim aura disparu, un monde dans lequel les enfants et leurs familles pourront construire leur futur et où les agriculteurs pourront subvenir à leurs besoins et aider leur communauté à devenir autonome », a déclaré Ertharin Cousin.
El Hadj Diakhaté