« Nous avons au Sénégal un portefeuille de plus de 3 milliards de dollars. C’est pour cela qu’on a souhaité avoir cet échange avec le secteur privé, afin qu’il puisse disposer de plus d’informations relatives à l’accès à ces marchés publics », a fait savoir Laurent Mehdi Brito.
Le coordonnateur du service en charge de la passation des marchés au bureau de la Banque mondiale au Sénégal ajoute : « Nous allons parler au secteur privé et aux organisations de la société civile de la manière dont ils peuvent accéder aux marchés et aux sources d’information »
Le spécialiste principal en gouvernance/passation des marchés publics souligne que beaucoup d’entreprises qui sont défaillantes ont des problèmes relatifs à la mobilisation du matériel et du personnel pour l’exécution de marchés.
A l’en croire, les problèmes se situent également au niveau du remplissage des formulaires de soumission, qui ne sont souvent pas bien remplis et présentent des informations incomplètes.
Un représentant de la direction centrale des marchés publics qui est sous la tutelle du ministère en charge de l’économie, du plan et de la coopération renseigne, pour sa part, que « tous les projets qu’ils suivent représentent des problèmes liés à la lenteur dans la passation des marchés ».
Il ressort de l’atelier aussi que 40% des financements accordés par la Banque mondiale, en 2022, sont revenus à l’Afrique subsaharienne.
Le volume de financements du portefeuille de l’institution de Bretton Woods au Sénégal est estimé à plus de 3 milliards de dollars avec 23 projets dans, notamment, le transport, l’eau et l’assainissement, les infrastructures.
Par ailleurs, Dr Omar Diokhané du patronat sénégalais soutient qu’ils ont, non seulement, des problèmes pour l’attribution des marchés, mais aussi, pour le paiement des entreprises.
Il renseigne que 81% des méthodes utilisées pour l’attribution des marchés publics sont longues. Par conséquent, il est d’avis qu’ « il faudra une réforme -qui prend en compte les préoccupations du secteur privé-, sur les procédures de passation des marchés.
Bassirou MBAYE
Le coordonnateur du service en charge de la passation des marchés au bureau de la Banque mondiale au Sénégal ajoute : « Nous allons parler au secteur privé et aux organisations de la société civile de la manière dont ils peuvent accéder aux marchés et aux sources d’information »
Le spécialiste principal en gouvernance/passation des marchés publics souligne que beaucoup d’entreprises qui sont défaillantes ont des problèmes relatifs à la mobilisation du matériel et du personnel pour l’exécution de marchés.
A l’en croire, les problèmes se situent également au niveau du remplissage des formulaires de soumission, qui ne sont souvent pas bien remplis et présentent des informations incomplètes.
Un représentant de la direction centrale des marchés publics qui est sous la tutelle du ministère en charge de l’économie, du plan et de la coopération renseigne, pour sa part, que « tous les projets qu’ils suivent représentent des problèmes liés à la lenteur dans la passation des marchés ».
Il ressort de l’atelier aussi que 40% des financements accordés par la Banque mondiale, en 2022, sont revenus à l’Afrique subsaharienne.
Le volume de financements du portefeuille de l’institution de Bretton Woods au Sénégal est estimé à plus de 3 milliards de dollars avec 23 projets dans, notamment, le transport, l’eau et l’assainissement, les infrastructures.
Par ailleurs, Dr Omar Diokhané du patronat sénégalais soutient qu’ils ont, non seulement, des problèmes pour l’attribution des marchés, mais aussi, pour le paiement des entreprises.
Il renseigne que 81% des méthodes utilisées pour l’attribution des marchés publics sont longues. Par conséquent, il est d’avis qu’ « il faudra une réforme -qui prend en compte les préoccupations du secteur privé-, sur les procédures de passation des marchés.
Bassirou MBAYE