Selon une note d’information, cette réunion de consultation était une occasion pour les participants de « dégager des orientations stratégiques futures » pour la Bid. Abdourahmane Sarr a profité de cette tribune pour appeler la Banque islamique de développement à vulgariser l’industrie que représente la finance islamique.
Pour le ministre, ce modèle a des « atouts majeurs » comparé à la finance conventionnelle. « Cette vulgarisation devra permettre de convaincre l’ensemble des pays membres sur la nécessité de se tourner vers les systèmes financiers islamiques, et notamment de se lancer dans l’émission d’obligations islamiques (soukouk) », a déclaré le Ministre.
Pour faire de la finance islamique un levier de développement économique, le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a suggéré à la Banque islamique de développement d’envisager une spécialisation du modèle de partenariat public-privé (Ppp) en ligne avec les principes de la finance islamique.
D’après le ministre, cela va « aider à sortir du bilan des Etats le financement de certains projets d’infrastructures, compte tenu des contraintes budgétaires auxquelles sont confrontés certains pays ». « Avec ses instruments de solidarité, elle pourrait même se spécialiser dans les Pppp 4P (Public, Private, Philanthropy, Partnership) sur des projets spécifiques hors bilans des Etats », a expliqué M. Abdourahmane Sarr.
Adou FAYE
Pour le ministre, ce modèle a des « atouts majeurs » comparé à la finance conventionnelle. « Cette vulgarisation devra permettre de convaincre l’ensemble des pays membres sur la nécessité de se tourner vers les systèmes financiers islamiques, et notamment de se lancer dans l’émission d’obligations islamiques (soukouk) », a déclaré le Ministre.
Pour faire de la finance islamique un levier de développement économique, le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a suggéré à la Banque islamique de développement d’envisager une spécialisation du modèle de partenariat public-privé (Ppp) en ligne avec les principes de la finance islamique.
D’après le ministre, cela va « aider à sortir du bilan des Etats le financement de certains projets d’infrastructures, compte tenu des contraintes budgétaires auxquelles sont confrontés certains pays ». « Avec ses instruments de solidarité, elle pourrait même se spécialiser dans les Pppp 4P (Public, Private, Philanthropy, Partnership) sur des projets spécifiques hors bilans des Etats », a expliqué M. Abdourahmane Sarr.
Adou FAYE