Selon un communiqué de presse, ce début de partenariat permettra la réhabilitation de quatre (4) établissements à Kolda et à Ziguinchor avec un impact sur plus de 1 000 enfants.
«Le programme Jang ak Free a pour vocation, avec le soutien de la fondation Axian, d’améliorer durablement l’accès à l’éducation primaire dans les zones où les enfants ont un accès difficile à des infrastructures scolaires de bonne qualité », lit-on dans le communiqué de presse.
L’objectif de cette convention, explique la même source, vise à améliorer le bien-être des enfants en milieu scolaire et les environnements d’apprentissage dans les zones enclavées, notamment par la réhabilitation des infrastructures existantes (salles de classe, latrines, points d’eau, aménagement de coin lecture), la dotation en équipements (table banc, tableau) et l’embellissement du cadre de vie des élèves par la plantation d’arbres et l’installation de jardins scolaires. Afin de veiller au maintien des filles dans le système scolaire, le projet veillera à rattacher les écoles bénéficiaires aux réseaux de femmes enseignantes et à la mise en place de groupes de soutien et d’entraide.
La convention vise aussi à soutenir l’éducation inclusive soutenue par l’Unicef avec la prise en charge d’enfants en situation de handicap sensoriel, visuel et intellectuel pour leur permettre de suivre un enseignement adapté dans les écoles publiques en compagnie des autres enfants. Les activités incluront la sensibilisation des communautés locales et des communautés éducatives, la formation des enseignants, la mise à disposition d’auxiliaires de vie scolaire et des dotations en matériels et équipements adaptés, afin d’accompagner l’inclusion scolaire et sociale des enfants en situation de handicap.
Selon Mamadou Mbengue, directeur général de Free Sénégal, «l’action conjointe, en un mot, l’union est véritablement une force dans notre démarche qui consiste à agir de sorte que créativité et compétitivité soient en accord majeur avec la responsabilité. Chez Free, nous travaillons à tester un modèle de prise en compte des enjeux environnementaux, sociaux, économiques et éthiques à travers le programme Jang ak Free. Avec ce partenariat, c’est l’avenir des enfants que nous préparons aujourd’hui tous ensemble ».
«Les entreprises, quels que soient leur taille ou leur secteur, jouent un rôle central dans la création d'un monde plus juste, équitable et durable pour les enfants et les jeunes. Ce partenariat avec Free démontre encore une fois le potentiel qui existe au Sénégal et comment le secteur privé peut faire la différence pour chaque enfant », a pour sa part déclaré Silvia Danailov, représentante de l’Unicef au Sénégal.
Les entreprises peuvent contribuer aux programmes de l’Unicef par le biais de financements (telles que des subventions, des campagnes de marketing liées à une cause, les dons des employés, etc.), par leur expertise, leurs produits ou services (actifs commerciaux de base), ou encore leurs politiques et pratiques commerciales qui ont un impact sur les droits et le bien-être des enfants.
Dans sa stratégie d’engagement avec les entreprises, l’Unicef, sur la base d’une cartographie préalable réalisée dans le pays, a identifié le secteur des télécommunications, des datas et de l’internet parmi les secteurs potentiels de partenariats pour la réalisation des droits de l’enfant.
Adou Faye
«Le programme Jang ak Free a pour vocation, avec le soutien de la fondation Axian, d’améliorer durablement l’accès à l’éducation primaire dans les zones où les enfants ont un accès difficile à des infrastructures scolaires de bonne qualité », lit-on dans le communiqué de presse.
L’objectif de cette convention, explique la même source, vise à améliorer le bien-être des enfants en milieu scolaire et les environnements d’apprentissage dans les zones enclavées, notamment par la réhabilitation des infrastructures existantes (salles de classe, latrines, points d’eau, aménagement de coin lecture), la dotation en équipements (table banc, tableau) et l’embellissement du cadre de vie des élèves par la plantation d’arbres et l’installation de jardins scolaires. Afin de veiller au maintien des filles dans le système scolaire, le projet veillera à rattacher les écoles bénéficiaires aux réseaux de femmes enseignantes et à la mise en place de groupes de soutien et d’entraide.
La convention vise aussi à soutenir l’éducation inclusive soutenue par l’Unicef avec la prise en charge d’enfants en situation de handicap sensoriel, visuel et intellectuel pour leur permettre de suivre un enseignement adapté dans les écoles publiques en compagnie des autres enfants. Les activités incluront la sensibilisation des communautés locales et des communautés éducatives, la formation des enseignants, la mise à disposition d’auxiliaires de vie scolaire et des dotations en matériels et équipements adaptés, afin d’accompagner l’inclusion scolaire et sociale des enfants en situation de handicap.
Selon Mamadou Mbengue, directeur général de Free Sénégal, «l’action conjointe, en un mot, l’union est véritablement une force dans notre démarche qui consiste à agir de sorte que créativité et compétitivité soient en accord majeur avec la responsabilité. Chez Free, nous travaillons à tester un modèle de prise en compte des enjeux environnementaux, sociaux, économiques et éthiques à travers le programme Jang ak Free. Avec ce partenariat, c’est l’avenir des enfants que nous préparons aujourd’hui tous ensemble ».
«Les entreprises, quels que soient leur taille ou leur secteur, jouent un rôle central dans la création d'un monde plus juste, équitable et durable pour les enfants et les jeunes. Ce partenariat avec Free démontre encore une fois le potentiel qui existe au Sénégal et comment le secteur privé peut faire la différence pour chaque enfant », a pour sa part déclaré Silvia Danailov, représentante de l’Unicef au Sénégal.
Les entreprises peuvent contribuer aux programmes de l’Unicef par le biais de financements (telles que des subventions, des campagnes de marketing liées à une cause, les dons des employés, etc.), par leur expertise, leurs produits ou services (actifs commerciaux de base), ou encore leurs politiques et pratiques commerciales qui ont un impact sur les droits et le bien-être des enfants.
Dans sa stratégie d’engagement avec les entreprises, l’Unicef, sur la base d’une cartographie préalable réalisée dans le pays, a identifié le secteur des télécommunications, des datas et de l’internet parmi les secteurs potentiels de partenariats pour la réalisation des droits de l’enfant.
Adou Faye