«Ces approbations s'inscrivent dans le cadre de l'intensification des efforts déployés par la Bidc pour investir dans des secteurs clés en vue de booster le redressement économique après la pandémie de Covid et d'atténuer les répercussions de la guerre russo-ukrainienne sur les pays membres de la Cedeao », déclare le président du Conseil d'administration de la Bidc, George Agyekum Donkor, PhD/Dba, lors de la 79e session du Conseil d'administration de la Banque qui vient de s'achever.
Dans son mot d'ouverture, M. Donkor a souligné que l'impact de la pandémie du Covid et la guerre actuelle entre la Russie et l'Ukraine ont mis à mal de nombreuses économies. Il a indiqué que les conditions actuelles du marché ont poussé les investisseurs à vouloir maximiser leurs investissements en Afrique subsaharienne, augmentant ainsi le coût du capital.
Selon le président de la Bidc, cette situation a entraîné un ralentissement de la croissance économique, des déficits généralisés de la balance des paiements, une dégradation des termes de l'échange, un épuisement des réserves internationales des banques centrales, des déficits budgétaires et une situation de surendettement. Par conséquent, M. Donkor a souligné la nécessité pour la BIDC, en tant que bras financier de la Cedeao, de consolider son rôle d'intermédiation financière dans tous les secteurs clés dans les pays membres, afin de les aider à surmonter les difficultés économiques.
La vice-présidente de la Commission de la Cedeao, Damtien L. Tchintchibidja, a pris part à la session. Elle a salué le remarquable impact que produisent les interventions de la Bidc dans la sous-région, et a assuré la Banque de l'engagement de la nouvelle équipe dirigeante de la Commission de la Cedeao à collaborer avec la Bidc et la soutenir dans ses multiples activités, notamment dans le domaine de la mobilisation des ressources, pour œuvrer à la transformation des populations de la Cedeao.
Adou FAYE
Dans son mot d'ouverture, M. Donkor a souligné que l'impact de la pandémie du Covid et la guerre actuelle entre la Russie et l'Ukraine ont mis à mal de nombreuses économies. Il a indiqué que les conditions actuelles du marché ont poussé les investisseurs à vouloir maximiser leurs investissements en Afrique subsaharienne, augmentant ainsi le coût du capital.
Selon le président de la Bidc, cette situation a entraîné un ralentissement de la croissance économique, des déficits généralisés de la balance des paiements, une dégradation des termes de l'échange, un épuisement des réserves internationales des banques centrales, des déficits budgétaires et une situation de surendettement. Par conséquent, M. Donkor a souligné la nécessité pour la BIDC, en tant que bras financier de la Cedeao, de consolider son rôle d'intermédiation financière dans tous les secteurs clés dans les pays membres, afin de les aider à surmonter les difficultés économiques.
La vice-présidente de la Commission de la Cedeao, Damtien L. Tchintchibidja, a pris part à la session. Elle a salué le remarquable impact que produisent les interventions de la Bidc dans la sous-région, et a assuré la Banque de l'engagement de la nouvelle équipe dirigeante de la Commission de la Cedeao à collaborer avec la Bidc et la soutenir dans ses multiples activités, notamment dans le domaine de la mobilisation des ressources, pour œuvrer à la transformation des populations de la Cedeao.
Adou FAYE