L’année 2014 est marquée par une forte croissance du marché, 16% soit un peu plus de 450 milliards de FCFA à fin décembre 2014. Elle est soutenue par les banques du MIDDLE MARKET (+31%) notamment la Bank of Africa Sénégal et la Banque Atlantique Sénégal. Les ressources à vue représentent 55% des dépôts (y compris interbancaires). Ce qui porte le ratio de transformation à une moyenne de place de 110%.
Le TOP FOUR se stabilise sur la même période et perd en compétitivité au détriment des deux autres compartiments de marché, le middle market et le 3eme Tiers. La Cbao Attijariwafabank mène la cadence avec 554 milliards, suivie par la Société Générale de Banque au Sénégal, avec 513 milliards qui malgré ses résultats désastreux continue tout de même à capter des ressources. Ecobank occupe la troisième place avec 464 milliards et la Banque Internationale pour le commerce et l`Industrie du Sénégal (Bicis) ferme le rang avec 303 milliards.
Sur le Segment du Middle market, la Bank of Africa (BOA) prend le contrôle et dépasse la barre symbolique des 200 milliards de FCFA de ressources et se stabilise à 242 Milliards de FCFA. Il convient de souligner que les Dettes interbancaires (90 Milliards) et Dépôt à termes (54 Milliards) représentent 60% des ressources de la BOA Sénégal. Elle est suivie par la Banque de l’habitat du Sénégal(BHS) avec 196 milliards, qui s’est bonifiée de 21 milliards de 2013 à 2014.
Bonne percée également de la Banque Atlantique Sénégal qui est passée de 91 milliards en 2011 à 147 milliards en 2014, soit une progression de 62%. La Banque Atlantique du Sénégal talonne son devancier la CNCAS qui totalise 158 milliards de ressources. Par contre la Banque Islamique du Sénégal (BIS) connait une évolution en dents de scie de 2011 à 2014. En effet, de 122 milliards en 2011 les ressources collectées par la BIS passent à 128 milliards en 2012, avant de baisser à 108 milliards en 2013 et de remonter à 124 milliards en 2014.
A la faveur de sa bonne pénétration du secteur secondaire, UBA Sénégal prend le contrôle du compartiment du 3ème Tiers du marché. Il faut également noter ici, les bonnes poussées de la Banque Sahelo Saharienne pour l`Investissement et le Commerce (BSIC) dont les ressources sont passées de 31 milliards en 2011 à 65 milliards en 2014 et de Diamond Bank qui est passée de 27 milliards en 2012 à 61 milliards en 2014. Par contre la City Bank perd du terrain avec des ressources collectées passant de 49 milliards en 2011 à 44 milliards en 2014.
Ismaila BA
Le TOP FOUR se stabilise sur la même période et perd en compétitivité au détriment des deux autres compartiments de marché, le middle market et le 3eme Tiers. La Cbao Attijariwafabank mène la cadence avec 554 milliards, suivie par la Société Générale de Banque au Sénégal, avec 513 milliards qui malgré ses résultats désastreux continue tout de même à capter des ressources. Ecobank occupe la troisième place avec 464 milliards et la Banque Internationale pour le commerce et l`Industrie du Sénégal (Bicis) ferme le rang avec 303 milliards.
Sur le Segment du Middle market, la Bank of Africa (BOA) prend le contrôle et dépasse la barre symbolique des 200 milliards de FCFA de ressources et se stabilise à 242 Milliards de FCFA. Il convient de souligner que les Dettes interbancaires (90 Milliards) et Dépôt à termes (54 Milliards) représentent 60% des ressources de la BOA Sénégal. Elle est suivie par la Banque de l’habitat du Sénégal(BHS) avec 196 milliards, qui s’est bonifiée de 21 milliards de 2013 à 2014.
Bonne percée également de la Banque Atlantique Sénégal qui est passée de 91 milliards en 2011 à 147 milliards en 2014, soit une progression de 62%. La Banque Atlantique du Sénégal talonne son devancier la CNCAS qui totalise 158 milliards de ressources. Par contre la Banque Islamique du Sénégal (BIS) connait une évolution en dents de scie de 2011 à 2014. En effet, de 122 milliards en 2011 les ressources collectées par la BIS passent à 128 milliards en 2012, avant de baisser à 108 milliards en 2013 et de remonter à 124 milliards en 2014.
A la faveur de sa bonne pénétration du secteur secondaire, UBA Sénégal prend le contrôle du compartiment du 3ème Tiers du marché. Il faut également noter ici, les bonnes poussées de la Banque Sahelo Saharienne pour l`Investissement et le Commerce (BSIC) dont les ressources sont passées de 31 milliards en 2011 à 65 milliards en 2014 et de Diamond Bank qui est passée de 27 milliards en 2012 à 61 milliards en 2014. Par contre la City Bank perd du terrain avec des ressources collectées passant de 49 milliards en 2011 à 44 milliards en 2014.
Ismaila BA