Un BIC est une institution qui collecte auprès des organismes financiers, des sources publiques et des grands facturiers (sociétés d’électricité, d’eau et de téléphonie) des données disponibles sur les antécédents de crédit ou de paiement d’un emprunteur.
« Le Groupement Crédit Info Volo a été agréé par arrêté du 12 mai 2015 du ministre chargé des finances de la République de Côte d ‘Ivoire », a affirmé M. Camara, à l’issue de la rencontre entre la Direction nationale pour le Sénégal de la BCEAO et l’Association professionnelles des banques et établissements financiers (APBEF) du Sénégal.
Selon lui, le démarrage des activités du BIC agrée est lié à l’aboutissement du processus de recueil des consentements des clients. « Dans la démarche qui a été adoptée et validée, il importe que le client donne son accord avant de fournir des informations au BIC », affirme M. Camara. A ses yeux, cette précaution a été prise pour rassurer davantage les différents acteurs quant au respect de toutes les règles relatives à la préservation et la sécurité des données privées des clients. « Contrairement à ce qui se passe dans certains pays, le recueil des consentements est volontaire dans l’espace UMOA », avance Mamadou Camara.
Initialement prévu en fin juin 2015, le démarrage des activités du BIC pourrait toutefois avoir un léger retard dû au processus de recueil des consentements des clients qui peut différer d’un pays à un autre de l’espace UMOA. Même s’il ne le souhaite pas, M. Camara espère que ce processus pourra être bouclé rapidement pour permettre le démarrage des activités du BIC.
El Hadj Diakhaté
« Le Groupement Crédit Info Volo a été agréé par arrêté du 12 mai 2015 du ministre chargé des finances de la République de Côte d ‘Ivoire », a affirmé M. Camara, à l’issue de la rencontre entre la Direction nationale pour le Sénégal de la BCEAO et l’Association professionnelles des banques et établissements financiers (APBEF) du Sénégal.
Selon lui, le démarrage des activités du BIC agrée est lié à l’aboutissement du processus de recueil des consentements des clients. « Dans la démarche qui a été adoptée et validée, il importe que le client donne son accord avant de fournir des informations au BIC », affirme M. Camara. A ses yeux, cette précaution a été prise pour rassurer davantage les différents acteurs quant au respect de toutes les règles relatives à la préservation et la sécurité des données privées des clients. « Contrairement à ce qui se passe dans certains pays, le recueil des consentements est volontaire dans l’espace UMOA », avance Mamadou Camara.
Initialement prévu en fin juin 2015, le démarrage des activités du BIC pourrait toutefois avoir un léger retard dû au processus de recueil des consentements des clients qui peut différer d’un pays à un autre de l’espace UMOA. Même s’il ne le souhaite pas, M. Camara espère que ce processus pourra être bouclé rapidement pour permettre le démarrage des activités du BIC.
El Hadj Diakhaté