Les professionnels de la finance alternative venus de nombreux pays d’Afrique et du monde se sont retrouvés dans la capitale économique marocaine pour échanger sur les enjeux et les problématiques des outils financiers charia'a compatibles.
La finance islamique connaît un essor considérable, avec une croissance à deux chiffres depuis une décennie. Les actifs financiers islamiques ont doublé en 5 ans, passant de 800 milliards de dollars en 2010 à 1 800 milliards de dollars en 2013. Selon les experts, ces actifs pourraient atteindre 4 000 milliards de dollars d’ici à 2020.
En Afrique francophone, la finance islamique est encore à un stade embryonnaire. Notons que moins de 5% des actifs de la finance participative se trouvent en Afrique.
Fort potentiel de croissance
Aussi bien en Afrique que dans le reste du monde, l’industrie de la finance participative présente un bon potentiel de développement. En effet, le monde compte quelque 1,6 milliard de musulmans dont plus de 400 millions en Afrique. Sachant que les musulmans constituent la cible prioritaire pour ces produits.
On compte déjà 600 banques islamiques dans le monde, dont une centaine en Afrique. Le Soudan compte le plus grand nombre de banques islamiques sur le continent.
En Afrique francophone, l’année 2015 sera marquée par le démarrage de plusieurs projets de mise en place d’institutions financières dédiées aux services financiers participatifs, notamment au Maroc, en Côte d’Ivoire, en Tunisie, en Mauritanie et au Mali.
Cette sixième édition du Forum africain de la finance islamique (FAFI), organisé par le cabinet de conseil en finance participative, Finéopolis Consulting, est une véritable plateforme d’échanges entre experts et professionnels venus de nombreux pays. Les participants ont abordé différents sujets sur plusieurs panels. Ils se sont penchés notamment sur les défis et les opportunités de la finance islamique pour le financement de l’économie africaine (titrisation, sukuks, financement de PME, microfinance, etc.).
Rappelons que la finance islamique ou finance participative est basée sur des principes éthiques de responsabilité. Elle est adossée sur des actifs réels et s'abstient de toute spéculation contrairement à la finance conventionnelle.
lesafriques
La finance islamique connaît un essor considérable, avec une croissance à deux chiffres depuis une décennie. Les actifs financiers islamiques ont doublé en 5 ans, passant de 800 milliards de dollars en 2010 à 1 800 milliards de dollars en 2013. Selon les experts, ces actifs pourraient atteindre 4 000 milliards de dollars d’ici à 2020.
En Afrique francophone, la finance islamique est encore à un stade embryonnaire. Notons que moins de 5% des actifs de la finance participative se trouvent en Afrique.
Fort potentiel de croissance
Aussi bien en Afrique que dans le reste du monde, l’industrie de la finance participative présente un bon potentiel de développement. En effet, le monde compte quelque 1,6 milliard de musulmans dont plus de 400 millions en Afrique. Sachant que les musulmans constituent la cible prioritaire pour ces produits.
On compte déjà 600 banques islamiques dans le monde, dont une centaine en Afrique. Le Soudan compte le plus grand nombre de banques islamiques sur le continent.
En Afrique francophone, l’année 2015 sera marquée par le démarrage de plusieurs projets de mise en place d’institutions financières dédiées aux services financiers participatifs, notamment au Maroc, en Côte d’Ivoire, en Tunisie, en Mauritanie et au Mali.
Cette sixième édition du Forum africain de la finance islamique (FAFI), organisé par le cabinet de conseil en finance participative, Finéopolis Consulting, est une véritable plateforme d’échanges entre experts et professionnels venus de nombreux pays. Les participants ont abordé différents sujets sur plusieurs panels. Ils se sont penchés notamment sur les défis et les opportunités de la finance islamique pour le financement de l’économie africaine (titrisation, sukuks, financement de PME, microfinance, etc.).
Rappelons que la finance islamique ou finance participative est basée sur des principes éthiques de responsabilité. Elle est adossée sur des actifs réels et s'abstient de toute spéculation contrairement à la finance conventionnelle.
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