Commencer n’aurait de sens sans être complété par finir. La fin de l’édition 2021 du festival international de Jazz, commencée depuis vendredi dernier dans la vielle ville, Saint-Louis, trouve tout son sens dans l’appétit qu’elle stimule au sein des mélomanes et d’autres acteurs à retrouver les différentes mélodies qui seront sur scène à la prochaine édition annoncée du 2 au 6 juin 2022.
L’édition, cette année, de cet événement international, réduit dans le temps et dans l’espace à cause de la pandémie de la Covid-19 qui n’a pas encore dit son dernier mot, est coiffée par la « satisfaction » des organisateurs. « Nous ne voulions pas que le festival international de Saint-Louis tombe dans l’oubli. », a confié le président de l’association Saint-Louis Jazz.
« Vous avez vu ce qui s’est passé hier (samedi Ndlr), c’est l’apothéose », dit Me Ibrahima Diop. Qui explique dans la foulée que tous les hôtels ont été remplis. Une bouffée d’oxygène pour les réceptifs hôteliers asphyxiés, depuis mars 2020, par la Covid-19 et son lot de conséquences sur toutes les sphères de la vie notamment les secteurs hôtelier et touristique.
« Nous peinions même à loger la plupart nos artistes », poursuit Me Diop. Qui signale dans le même sillage que le festival a permis de faire de la promotion touristique. Pour lui, la Bicis comprend, aujourd’hui, que ce festival est très important et gagne à être accompagné. « Elle est en train de le faire », témoigne le président de l’association Saint-Louis Jazz.
« Bravo aux organisateurs qui ont réalisé ces coups de force pour rassembler des artistes sénégalais et internationaux pour ravir les spectateurs, Saint-Louisiens, ceux venant de Dakar mais aussi de l’étranger moins que d’habitude à cause de la Covid-19. », lance le directeur général de Bicis récemment porté à la tête de la direction générale.
Pour Bernard Levie, la Bicis est extrêmement heureuse, avec l’aide de la fondation Bnp Paribas, de continuer à soutenir cet événement emblématique qui dépasse les frontières de Saint-Louis ainsi que celles du Sénégal. A l’en croire, Saint-Louis vit, dans une certaine mesure, grâce au festival et continuera à être une perle du Sénégal vue de loin par le monde entier et celui de la musique.
Tout comme à l’ouverture du festival vendredi, 18 juin 2021, un hommage a été rendu à Alioune Badara Diagne dit Golbert à la clôture de l’événement. Cette fois-ci, à travers un poème du Général Mbaye Cissé qui était « Colonel au moment de la rédaction du poème », souligne-t-on enfin.
Bassirou MBAYE
L’édition, cette année, de cet événement international, réduit dans le temps et dans l’espace à cause de la pandémie de la Covid-19 qui n’a pas encore dit son dernier mot, est coiffée par la « satisfaction » des organisateurs. « Nous ne voulions pas que le festival international de Saint-Louis tombe dans l’oubli. », a confié le président de l’association Saint-Louis Jazz.
« Vous avez vu ce qui s’est passé hier (samedi Ndlr), c’est l’apothéose », dit Me Ibrahima Diop. Qui explique dans la foulée que tous les hôtels ont été remplis. Une bouffée d’oxygène pour les réceptifs hôteliers asphyxiés, depuis mars 2020, par la Covid-19 et son lot de conséquences sur toutes les sphères de la vie notamment les secteurs hôtelier et touristique.
« Nous peinions même à loger la plupart nos artistes », poursuit Me Diop. Qui signale dans le même sillage que le festival a permis de faire de la promotion touristique. Pour lui, la Bicis comprend, aujourd’hui, que ce festival est très important et gagne à être accompagné. « Elle est en train de le faire », témoigne le président de l’association Saint-Louis Jazz.
« Bravo aux organisateurs qui ont réalisé ces coups de force pour rassembler des artistes sénégalais et internationaux pour ravir les spectateurs, Saint-Louisiens, ceux venant de Dakar mais aussi de l’étranger moins que d’habitude à cause de la Covid-19. », lance le directeur général de Bicis récemment porté à la tête de la direction générale.
Pour Bernard Levie, la Bicis est extrêmement heureuse, avec l’aide de la fondation Bnp Paribas, de continuer à soutenir cet événement emblématique qui dépasse les frontières de Saint-Louis ainsi que celles du Sénégal. A l’en croire, Saint-Louis vit, dans une certaine mesure, grâce au festival et continuera à être une perle du Sénégal vue de loin par le monde entier et celui de la musique.
Tout comme à l’ouverture du festival vendredi, 18 juin 2021, un hommage a été rendu à Alioune Badara Diagne dit Golbert à la clôture de l’événement. Cette fois-ci, à travers un poème du Général Mbaye Cissé qui était « Colonel au moment de la rédaction du poème », souligne-t-on enfin.
Bassirou MBAYE