En effet, explique l’institution, hors charges et taxes, le taux débiteur moyen calculé à l'échelle de l'Union est ressorti à 6,7%, stable par rapport au mois précédent.
Quant aux rémunérations des dépôts de la clientèle, elles sont ressorties à 5,05% au cours du mois sous revue, contre 5,27% relevé le mois précédent.
Au cours du mois de juillet 2020, ajoute la Bceao, l'indicateur du climat des affaires a poursuivi son redressement entamé en mai 2020, en lien avec la mise en œuvre des politiques publiques de soutien à l'activité économique dans un contexte d'assouplissement des mesures restrictives prises par les Etats de l'Union pour faire face à la crise sanitaire liée à la Covid-19.
Toutefois, il est resté en dessous de sa tendance moyenne, signe que la confiance des chefs d'entreprise sur l'évolution de l'activité économique n'a pas atteint son niveau normal. La plupart des autres indicateurs de conjoncture élaborés et suivis par la Bceao confirment la reprise progressive de l'activité économique dans l'Union.
Ainsi, l'indice de la production industrielle a enregistré une hausse de 3,5%, en rythme annuel, au cours du mois sous revue, après une baisse de 2,3% en juin 2020. En ce qui concerne l'indice du chiffre d'affaires dans les services marchands, il a reculé de 3,6%, en rythme annuel, contre une baisse de 7,7% le mois précédent. En outre, l'indice du chiffre d'affaires du commerce de détail a affiché un recul de 5,8% au cours du mois de juillet 2020, contre une baisse de 6,4% le mois précédent.
Sur la base des données officielles, le taux d'inflation est ressorti, en glissement annuel, à 2,5% à fin juillet 2020, après une réalisation de 1,8% le mois précédent.
L'accélération du rythme de progression du niveau général des prix est imprimée notamment par les composantes «Alimentation» et «Restauration», dont la contribution globale à l'inflation totale est ressortie à 2,1 points de pourcentage, contre 1,4 point de pourcentage à fin juin 2020.
La hausse des prix des produits alimentaires est observée dans la quasi-totalité des pays de l'Union, en rapport avec un renchérissement des légumes frais ainsi que des tubercules et plantains, induit par la perturbation des circuits de distribution engendrée par la pandémie de la Covid-19.
Adou FAYE
Quant aux rémunérations des dépôts de la clientèle, elles sont ressorties à 5,05% au cours du mois sous revue, contre 5,27% relevé le mois précédent.
Au cours du mois de juillet 2020, ajoute la Bceao, l'indicateur du climat des affaires a poursuivi son redressement entamé en mai 2020, en lien avec la mise en œuvre des politiques publiques de soutien à l'activité économique dans un contexte d'assouplissement des mesures restrictives prises par les Etats de l'Union pour faire face à la crise sanitaire liée à la Covid-19.
Toutefois, il est resté en dessous de sa tendance moyenne, signe que la confiance des chefs d'entreprise sur l'évolution de l'activité économique n'a pas atteint son niveau normal. La plupart des autres indicateurs de conjoncture élaborés et suivis par la Bceao confirment la reprise progressive de l'activité économique dans l'Union.
Ainsi, l'indice de la production industrielle a enregistré une hausse de 3,5%, en rythme annuel, au cours du mois sous revue, après une baisse de 2,3% en juin 2020. En ce qui concerne l'indice du chiffre d'affaires dans les services marchands, il a reculé de 3,6%, en rythme annuel, contre une baisse de 7,7% le mois précédent. En outre, l'indice du chiffre d'affaires du commerce de détail a affiché un recul de 5,8% au cours du mois de juillet 2020, contre une baisse de 6,4% le mois précédent.
Sur la base des données officielles, le taux d'inflation est ressorti, en glissement annuel, à 2,5% à fin juillet 2020, après une réalisation de 1,8% le mois précédent.
L'accélération du rythme de progression du niveau général des prix est imprimée notamment par les composantes «Alimentation» et «Restauration», dont la contribution globale à l'inflation totale est ressortie à 2,1 points de pourcentage, contre 1,4 point de pourcentage à fin juin 2020.
La hausse des prix des produits alimentaires est observée dans la quasi-totalité des pays de l'Union, en rapport avec un renchérissement des légumes frais ainsi que des tubercules et plantains, induit par la perturbation des circuits de distribution engendrée par la pandémie de la Covid-19.
Adou FAYE