«Il s’agit, en tenant compte du fait que la Covid-19 est encore là pour un certain temps, de faire vivre l’économie toutes précautions sanitaires prises. Ainsi, nous allons adopter en septembre le Programme d’Actions Prioritaires ajusté et accéléré (PAP2a) », a déclaré Macky Sall.
Il s’agira selon lui, de donner une sur-priorité à la souveraineté alimentaire (agriculture, élevage et pêche), pharmaceutique et sanitaire, et de booster en même temps l’industrialisation de l’économie, le numérique, le tourisme, le logement, en favorisant davantage l’équité territoriale et l’inclusion sociale. Parallèlement, les projets stratégiques des infrastructures et de l’énergie seront poursuivis. Selon Macky Sall, d’ici 2023, le PAP2a requiert un financement de 22,4 milliards d’euros dont le tiers est attendu du secteur privé local et étranger.
«Voilà les défis que nous voulons relever avec notre Programme de relance de l’économie nationale. Vous pouvez y contribuer.
Je ne vous présenterai pas le Sénégal. Vous connaissez le pays. Nous connaissons la qualité du savoir-faire français. Nous avons en commun une langue et une tradition juridique, en plus de la proximité géographique. Plus de 250 entreprises françaises opèrent au Sénégal, pour plus de 30 000 emplois créés », a confié le chef de l’Etat. Ce qui à son avis, nous permet de travailler ensemble sur des projets divers, parfois sophistiqués, comme celui du Train Express Régional dont la première phase est en cours d’achèvement.
Adou FAYE
Il s’agira selon lui, de donner une sur-priorité à la souveraineté alimentaire (agriculture, élevage et pêche), pharmaceutique et sanitaire, et de booster en même temps l’industrialisation de l’économie, le numérique, le tourisme, le logement, en favorisant davantage l’équité territoriale et l’inclusion sociale. Parallèlement, les projets stratégiques des infrastructures et de l’énergie seront poursuivis. Selon Macky Sall, d’ici 2023, le PAP2a requiert un financement de 22,4 milliards d’euros dont le tiers est attendu du secteur privé local et étranger.
«Voilà les défis que nous voulons relever avec notre Programme de relance de l’économie nationale. Vous pouvez y contribuer.
Je ne vous présenterai pas le Sénégal. Vous connaissez le pays. Nous connaissons la qualité du savoir-faire français. Nous avons en commun une langue et une tradition juridique, en plus de la proximité géographique. Plus de 250 entreprises françaises opèrent au Sénégal, pour plus de 30 000 emplois créés », a confié le chef de l’Etat. Ce qui à son avis, nous permet de travailler ensemble sur des projets divers, parfois sophistiqués, comme celui du Train Express Régional dont la première phase est en cours d’achèvement.
Adou FAYE