Avec un programme inédit et la participation d'experts de renom hautes personnalités du secteur public, décideurs de premier plan du secteur privé, start-ups les plus dynamiques du continent, investisseurs, etc. -, le forum promet une réflexion approfondie sur
Après trois éditions à succès articulées autour des risques cyber, de la souveraineté numérique et de la coopération pour la transformation numérique, avec +50 entreprises partenaires et +6 000 participants cumulé, le Cyber Africa Forum (Caf) s’est érigé en plateforme de référence pour discuter des défis et des opportunités du numérique en Afrique. Avec pour parrain Kalil Konaté, ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, la quatrième édition poursuit sur cette lancée, se concentrant sur l'impact de l'intelligence artificielle et les nouvelles menaces cybernétiques. Elle augure une série de moments forts, comprenant des conférences, des tables rondes, des rendez-vous d’affaires Business to Business (BtoB) et Business to Government (BtoG), ainsi que des sessions de networking. Les échanges et débats porteront notamment sur les défis de la mise en œuvre de l’IA en Afrique, les menaces, innovations et stratégies de défense autour de cette technologie, le défi de la gestion des données sensibles dans le secteur de la e-Santé, l’avenir de l’écosystème des start-ups, l’employabilité à l’ère de l’IA, et bien d’autres tout aussi passionnants.
«D’après les conclusions du rapport de l’Indice mondial de préparation des gouvernements à l’intelligence artificielle, seuls 5 pays africains - l’Afrique du Sud, l’Égypte, le Maroc, Maurice et la Tunisie -, ont été identifiés comme étant prêts dans la préparation, l’exploitation et le contrôle de cette technologie. Ce chiffre apparaît relativement bas compte tenu du potentiel considérable de l’IA dans le PIB africain, pouvant atteindre 15,7% d’ici 2030, et des enjeux posés par cette technologie. Cette thématique doit donc plus que jamais occuper une place centrale dans le nouveau paradigme en cours en Afrique. Alliant ambition et action, le Cyber Africa Forum s’est fixé pour mission de catalyser une dynamique de transformation numérique qui redéfinit les horizons de la sécurité et de l’inclusion en Afrique », a déclaré Franck Kié, commissaire général du Caf.
Adou FAYE
les défis actuels et futurs de l’ia et de la cybersécurité sur le continent africain ainsi que de nombreuses opportunités d’affaires. Après trois éditions à succès articulées autour des risques cyber, de la souveraineté numérique et de la coopération pour la transformation numérique, avec +50 entreprises partenaires et +6 000 participants cumulé, le Cyber Africa Forum (Caf) s’est érigé en plateforme de référence pour discuter des défis et des opportunités du numérique en Afrique. Avec pour parrain Kalil Konaté, ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, la quatrième édition poursuit sur cette lancée, se concentrant sur l'impact de l'intelligence artificielle et les nouvelles menaces cybernétiques. Elle augure une série de moments forts, comprenant des conférences, des tables rondes, des rendez-vous d’affaires Business to Business (BtoB) et Business to Government (BtoG), ainsi que des sessions de networking. Les échanges et débats porteront notamment sur les défis de la mise en œuvre de l’IA en Afrique, les menaces, innovations et stratégies de défense autour de cette technologie, le défi de la gestion des données sensibles dans le secteur de la e-Santé, l’avenir de l’écosystème des start-ups, l’employabilité à l’ère de l’IA, et bien d’autres tout aussi passionnants.
«D’après les conclusions du rapport de l’Indice mondial de préparation des gouvernements à l’intelligence artificielle, seuls 5 pays africains - l’Afrique du Sud, l’Égypte, le Maroc, Maurice et la Tunisie -, ont été identifiés comme étant prêts dans la préparation, l’exploitation et le contrôle de cette technologie. Ce chiffre apparaît relativement bas compte tenu du potentiel considérable de l’IA dans le PIB africain, pouvant atteindre 15,7% d’ici 2030, et des enjeux posés par cette technologie. Cette thématique doit donc plus que jamais occuper une place centrale dans le nouveau paradigme en cours en Afrique. Alliant ambition et action, le Cyber Africa Forum s’est fixé pour mission de catalyser une dynamique de transformation numérique qui redéfinit les horizons de la sécurité et de l’inclusion en Afrique », a déclaré Franck Kié, commissaire général du Caf.
Adou FAYE