chroniques
L’annonce a été faite par le Directeur général de la Société des pétroles du Sénégal (PETROSEN), Mamadou Faye, lors d’un atelier de mise à niveau des membres du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (COJES).
«La SAR fait face à des limites dans le domaine du raffinage. Au regard de cette situation, la SAR s’est attachée les services de consultants afin de trouver les voies et moyens lui permettant de se faire une santé technique, dans un contexte où l’association des raffineurs d’Afrique a mis en place de nouvelles normes à l’horizon 2020-2024» a fait savoir Mamadou Faye.
En effet, ces normes stipulent que tous les produits qui ne seraient pas traités dans les règles de l’art ne seront pas utilisés en Afrique. Avec le dispositif actuel de la SAR, elle n’est pas en mesure de se conformer à ces nouvelles normes africaines.
Ces études devraient permettre de savoir quoi faire de la SAR, mais dans l’intérêt du Sénégal, note Mamadu Faye, à terme, l’idéal serait d’installer une nouvelle raffinerie d’une capacité de 6 à 7 millions de tonnes par an, pour avoir toute la latitude de produire suffisamment et de satisfaire la demande locale et sous-régionale.
«Aujourd’hui, il y a des options très favorables pour le Sénégal, avec l’existence et la production d’hydrocarbures assez importantes. La SAR a commandité des études techniques qui ne sont pas encore publiées, mais nous attendons les rapports de ces études pour l’amélioration des conditions de traitement des produits au niveau de la SAR», confesse-t-il.
Ismaila BA
«La SAR fait face à des limites dans le domaine du raffinage. Au regard de cette situation, la SAR s’est attachée les services de consultants afin de trouver les voies et moyens lui permettant de se faire une santé technique, dans un contexte où l’association des raffineurs d’Afrique a mis en place de nouvelles normes à l’horizon 2020-2024» a fait savoir Mamadou Faye.
En effet, ces normes stipulent que tous les produits qui ne seraient pas traités dans les règles de l’art ne seront pas utilisés en Afrique. Avec le dispositif actuel de la SAR, elle n’est pas en mesure de se conformer à ces nouvelles normes africaines.
Ces études devraient permettre de savoir quoi faire de la SAR, mais dans l’intérêt du Sénégal, note Mamadu Faye, à terme, l’idéal serait d’installer une nouvelle raffinerie d’une capacité de 6 à 7 millions de tonnes par an, pour avoir toute la latitude de produire suffisamment et de satisfaire la demande locale et sous-régionale.
«Aujourd’hui, il y a des options très favorables pour le Sénégal, avec l’existence et la production d’hydrocarbures assez importantes. La SAR a commandité des études techniques qui ne sont pas encore publiées, mais nous attendons les rapports de ces études pour l’amélioration des conditions de traitement des produits au niveau de la SAR», confesse-t-il.
Ismaila BA
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