Cet atelier régional dont la cérémonie d’ouverture a été présidé, au nom du ministre en charge de l’agriculture, de l’équipement rural et de la sécurité alimentaire, par Dr Saliou Fall, chercheur à l’Institut sénégalais de recherche agricole (Isra).
Il a souligné qu’il est extrêmement important, aujourd’hui, d’être réactif, aller directement au but et partager les modèles réussis en Afrique, dans le dessein d’avoir des résultats concrets sur le genre, les services de vulgarisation, de conseil et de gestion des connaissances, dans le cadre du projet Pddaa-XP4.
Dr Fall est d’avis que ces objectifs sont importants et qu’ils permettront, s’ils sont atteints au cours des trois jours de travaux, à mener à bien les activités du projet dans d’excellentes conditions.
Le chercheur a enfin réaffirmé l’engagement de l’Isra à collaborer avec les différentes structures présentes à l’atelier, notamment le Coraf qui a une longue tradition de collaboration avec l’Isra dans le but d’atteindre les Objectifs de développement durable tels que la faim zéro, pas de pauvreté, égalité des sexes, travails décents et croissance économique, action climatique etc.
Le directeur de la recherche et de l’innovation du Conseil Ouest et Centre pour la recherche et le développement agricoles (Coraf) a remercié, pour sa part, l’Union européenne qui a financé ce projet du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture en Afrique Ex-Pilier 4 (Pddaa-XP4).
Emmanuel Njukwe a estimé dans la foulée qu’il est de leur « responsabilité de veiller à ce que les ressources qui ont été allouées pour soutenir le projet puissent atteindre les bénéficiaires et les objectifs visés ».
Par ailleurs, le responsable des TIC et de la gestion des connaissances au Forum africain des services de conseil agricole (Afaas) déplore le fait que les engagements de la déclaration de Malabo en matière d’agriculture soient loin d’être tenus par les Etats africains. 31 pays sur les 54 que compte le continent « sont dans le rouge et qu’un seul est dans le vert », sur la bonne voie ».
Pour Andrianjafy Rasoanindrainy, ce retard s’explique entre autres par le manque de leadership fort dans le domaine agricole mais aussi par un capital humain pas suffisamment formé ou qui n’a pas bénéficié de renforcement de capacités depuis des années.
L’objectif principal de cet atelier de trois jours (22-24 février) est de partager les informations relatives au plan de travail et au budget annuel du Coraf Pddaa-XP4 au titre de l’année 2023 avec les parties prenantes de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, y compris les points focaux nationaux et le secrétariat exécutif.
Durant trois jours, les acteurs auront également à partager les expériences de modèles réussis dans le cadre du projet Pddaa-XP4 sur le genre, les services de vulgarisation et de conseil et la gestion des connaissances.
Ledit projet est financé par l’Union européenne (Ue) et géré par le Fonds international pour le développement agricole (Fida).
Bassirou MBAYE
Il a souligné qu’il est extrêmement important, aujourd’hui, d’être réactif, aller directement au but et partager les modèles réussis en Afrique, dans le dessein d’avoir des résultats concrets sur le genre, les services de vulgarisation, de conseil et de gestion des connaissances, dans le cadre du projet Pddaa-XP4.
Dr Fall est d’avis que ces objectifs sont importants et qu’ils permettront, s’ils sont atteints au cours des trois jours de travaux, à mener à bien les activités du projet dans d’excellentes conditions.
Le chercheur a enfin réaffirmé l’engagement de l’Isra à collaborer avec les différentes structures présentes à l’atelier, notamment le Coraf qui a une longue tradition de collaboration avec l’Isra dans le but d’atteindre les Objectifs de développement durable tels que la faim zéro, pas de pauvreté, égalité des sexes, travails décents et croissance économique, action climatique etc.
Le directeur de la recherche et de l’innovation du Conseil Ouest et Centre pour la recherche et le développement agricoles (Coraf) a remercié, pour sa part, l’Union européenne qui a financé ce projet du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture en Afrique Ex-Pilier 4 (Pddaa-XP4).
Emmanuel Njukwe a estimé dans la foulée qu’il est de leur « responsabilité de veiller à ce que les ressources qui ont été allouées pour soutenir le projet puissent atteindre les bénéficiaires et les objectifs visés ».
Par ailleurs, le responsable des TIC et de la gestion des connaissances au Forum africain des services de conseil agricole (Afaas) déplore le fait que les engagements de la déclaration de Malabo en matière d’agriculture soient loin d’être tenus par les Etats africains. 31 pays sur les 54 que compte le continent « sont dans le rouge et qu’un seul est dans le vert », sur la bonne voie ».
Pour Andrianjafy Rasoanindrainy, ce retard s’explique entre autres par le manque de leadership fort dans le domaine agricole mais aussi par un capital humain pas suffisamment formé ou qui n’a pas bénéficié de renforcement de capacités depuis des années.
L’objectif principal de cet atelier de trois jours (22-24 février) est de partager les informations relatives au plan de travail et au budget annuel du Coraf Pddaa-XP4 au titre de l’année 2023 avec les parties prenantes de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, y compris les points focaux nationaux et le secrétariat exécutif.
Durant trois jours, les acteurs auront également à partager les expériences de modèles réussis dans le cadre du projet Pddaa-XP4 sur le genre, les services de vulgarisation et de conseil et la gestion des connaissances.
Ledit projet est financé par l’Union européenne (Ue) et géré par le Fonds international pour le développement agricole (Fida).
Bassirou MBAYE