Les participants ont convenu qu'une plus grande activité économique, une efficacité et une compétitivité accrues sur le continent étaient continuellement entravées par des infrastructures de transport, de communication, d'eau et d'électricité inadéquates.
« Des infrastructures inadéquates augmentent les coûts de production et de transaction du continent, ce qui réduit sa compétitivité sur le marché mondial », a déclaré Claver Gatete, sous-secrétaire général des Nations Unies et secrétaire exécutif de la Commission économique pour l'Afrique (Cea).
M. Gatete a, dans la foulée, noté que le déficit d’infrastructures de l’Afrique réduit la croissance économique par habitant de 2 % par an et la productivité de ses entreprises jusqu’à 40 %. Pour lui, il est essentiel de mobiliser les 160,8 milliards de dollars nécessaires à la mise en œuvre des projets Pida auprès de sources de financement internes et externes.
A ce titre, il a fait savoir que l’appropriation nationale permettra à la Commission économique pour l’Afrique et à d’autres organisations régionales et continentales de contribuer efficacement aux efforts de mobilisation des ressources.
Par ailleurs, le président de la commission de l'Union africaine (Ua), Moussa Faki, a déclaré que la Semaine Pida est une plate-forme importante pour évaluer les réalisations et les défis auxquels le continent est confronté en matière de développement des infrastructures et pour planifier l'avenir.
Le président de la République démocratique d’Éthiopie, Taye Atske Sélassié a, pour sa part, réitéré le soutien continu de son pays en faveur du Pida.
Amani Zeid, commissaire de l'Union africaine aux infrastructures et à l'énergie, a soutenu que le Pida a joué un rôle important dans la transformation numérique de l'Afrique, plusieurs pays du continent ayant réalisé une connectivité numérique via des câbles à fibres optiques.
Grâce au Pida, a-t-il déclaré, près de 30 millions de personnes en Afrique ont eu accès à l'électricité et plus de 16 000 km de routes et 4 000 km de lignes ferroviaires ont été développés à travers le continent.
Bassirou MBAYE
« Des infrastructures inadéquates augmentent les coûts de production et de transaction du continent, ce qui réduit sa compétitivité sur le marché mondial », a déclaré Claver Gatete, sous-secrétaire général des Nations Unies et secrétaire exécutif de la Commission économique pour l'Afrique (Cea).
M. Gatete a, dans la foulée, noté que le déficit d’infrastructures de l’Afrique réduit la croissance économique par habitant de 2 % par an et la productivité de ses entreprises jusqu’à 40 %. Pour lui, il est essentiel de mobiliser les 160,8 milliards de dollars nécessaires à la mise en œuvre des projets Pida auprès de sources de financement internes et externes.
A ce titre, il a fait savoir que l’appropriation nationale permettra à la Commission économique pour l’Afrique et à d’autres organisations régionales et continentales de contribuer efficacement aux efforts de mobilisation des ressources.
Par ailleurs, le président de la commission de l'Union africaine (Ua), Moussa Faki, a déclaré que la Semaine Pida est une plate-forme importante pour évaluer les réalisations et les défis auxquels le continent est confronté en matière de développement des infrastructures et pour planifier l'avenir.
Le président de la République démocratique d’Éthiopie, Taye Atske Sélassié a, pour sa part, réitéré le soutien continu de son pays en faveur du Pida.
Amani Zeid, commissaire de l'Union africaine aux infrastructures et à l'énergie, a soutenu que le Pida a joué un rôle important dans la transformation numérique de l'Afrique, plusieurs pays du continent ayant réalisé une connectivité numérique via des câbles à fibres optiques.
Grâce au Pida, a-t-il déclaré, près de 30 millions de personnes en Afrique ont eu accès à l'électricité et plus de 16 000 km de routes et 4 000 km de lignes ferroviaires ont été développés à travers le continent.
Bassirou MBAYE