chroniques
Dans le cadre du drainage des eaux pluviales de la ville de Fatick, le Sénégal peut bien compter sur un partenaire. En effet, la Banque ouest africaine pour le développement (BOAD) vient d’accorder un prêt d’un montant de 9 milliards de FCFA, destiné à la couverture financière du «Projet d’Assainissement des eaux usées et de drainage des eaux pluviales de la ville de Fatick». Cet accord, comme l’a souligné le ministre de l’Economie et des Finances répond à un besoin réel exprimé dans le Programme d’Actions Prioritaires (2014–2018) du Plan Sénégal Emergent dont le volet «Assainissement -Eau potable» est un des 6 secteurs prioritaires.
Et dans la réalisation de ce projet, le Sénégal va contribuer à hauteur de 2,140 milliards de F CFA, pour un coût global de 11,213 milliards de F CFA, ce qui illustre parfaitement l’intérêt qu’il attache à l’exécution de ce projet. Malgré des performances certaines réalisées en matière d’accès à l’assainissement (plus de 63% en milieu urbain), le Sénégal connait encore un important déficit d’infrastructures d’assainissement. De même, les conséquences des inondations récurrentes de ces dernières années se font toujours sentir.
«Je demeure convaincu que la réalisation de ce projet contribuera à asseoir un bon système d’assainissement des eaux usées et de dragage des eaux pluviales, afin d’assurer un accès des populations de Fatick à un service d’assainissement durable», indique Amadou Ba, le ministre de l’économie des finances et du plan.
Il faut dire que depuis sa création en 1973, la BOAD a maintes fois été citée en exemple pour la diversité et le dynamisme de sa coopération, l’efficacité de ses interventions et l’impact considérable de celles-ci dans le vécu quotidien des populations sénégalaises. En plus des prêts directs aux entreprises, sociétés et établissements publics, la BOAD finance un portefeuille en cours d’exécution d’une quinzaine d’opérations pour un montant global de 146,429 milliards de FCFA, avec un taux de décaissement de 54,30%, soit environ 79,565 milliards FCFA, principalement dans des secteurs porteurs de croissance.
Cependant, il reste plus que jamais nécessaire de doter la Banque en ressources concessionnelles pérennes, en vue de lui donner les moyens idoines pour appuyer les efforts de développement de ses Etats membres.
Pathé TOURE
Et dans la réalisation de ce projet, le Sénégal va contribuer à hauteur de 2,140 milliards de F CFA, pour un coût global de 11,213 milliards de F CFA, ce qui illustre parfaitement l’intérêt qu’il attache à l’exécution de ce projet. Malgré des performances certaines réalisées en matière d’accès à l’assainissement (plus de 63% en milieu urbain), le Sénégal connait encore un important déficit d’infrastructures d’assainissement. De même, les conséquences des inondations récurrentes de ces dernières années se font toujours sentir.
«Je demeure convaincu que la réalisation de ce projet contribuera à asseoir un bon système d’assainissement des eaux usées et de dragage des eaux pluviales, afin d’assurer un accès des populations de Fatick à un service d’assainissement durable», indique Amadou Ba, le ministre de l’économie des finances et du plan.
Il faut dire que depuis sa création en 1973, la BOAD a maintes fois été citée en exemple pour la diversité et le dynamisme de sa coopération, l’efficacité de ses interventions et l’impact considérable de celles-ci dans le vécu quotidien des populations sénégalaises. En plus des prêts directs aux entreprises, sociétés et établissements publics, la BOAD finance un portefeuille en cours d’exécution d’une quinzaine d’opérations pour un montant global de 146,429 milliards de FCFA, avec un taux de décaissement de 54,30%, soit environ 79,565 milliards FCFA, principalement dans des secteurs porteurs de croissance.
Cependant, il reste plus que jamais nécessaire de doter la Banque en ressources concessionnelles pérennes, en vue de lui donner les moyens idoines pour appuyer les efforts de développement de ses Etats membres.
Pathé TOURE
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