Le Parlement panafricain est très regardant sur tout ce qui touche au sort de la femme. D’ailleurs, l'Initiative sur les politiques foncières (LPI) a participé à un atelier organisé par cette institution sur le thème «Renforcer les droits des femmes concernant l'accès à la terre: une réponse parlementaire pour combler la disparité entre les genres pour le développement économique par le biais de l'agriculture.»
Selon un communiqué, l'atelier a examiné la relation entre l'accès des femmes à la terre et le développement économique en Afrique, et a identifié les facteurs cruciaux qui empêchent les femmes d'utiliser et de contrôler la terre. De même, la LPI a soutenu l'atelier avec deux présentations importantes: «L'accès à la terre en tant que droit des femmes: une approche pour approfondir l'autonomisation» et «Des outils pour intégrer les articles 15, 19 et 21 du Protocole de Maputo sur l'agriculture et la sécurité alimentaire dans le droit national: des mécanismes de surveillance et de rapportage pour la mise en œuvre des droits des femmes.»
Selon toujours le communiqué, l’atelier a indiqué les actions de suivi nécessaires afin de renforcer les droits fonciers des femmes africaines. Le plan d'action publié à la fin de l'atelier a identifié des stratégies pour renforcer le rôle du PAP dans le contrôle et le suivi des progrès accomplis dans l'adhésion au Protocol de Maputo, ainsi que dans son l'intégration et application au plan national.
De même, les stratégies comprennent le renforcement des capacités, la sensibilisation et la mobilisation des ressources. Dans le domaine du suivi-évaluation du PAP et des parlements nationaux, une attention particulière a été accordée à la discussion sur la cible de 30 pourcent des terres documentées allouées aux femmes d'ici 2025.
Pathé TOURE
Selon un communiqué, l'atelier a examiné la relation entre l'accès des femmes à la terre et le développement économique en Afrique, et a identifié les facteurs cruciaux qui empêchent les femmes d'utiliser et de contrôler la terre. De même, la LPI a soutenu l'atelier avec deux présentations importantes: «L'accès à la terre en tant que droit des femmes: une approche pour approfondir l'autonomisation» et «Des outils pour intégrer les articles 15, 19 et 21 du Protocole de Maputo sur l'agriculture et la sécurité alimentaire dans le droit national: des mécanismes de surveillance et de rapportage pour la mise en œuvre des droits des femmes.»
Selon toujours le communiqué, l’atelier a indiqué les actions de suivi nécessaires afin de renforcer les droits fonciers des femmes africaines. Le plan d'action publié à la fin de l'atelier a identifié des stratégies pour renforcer le rôle du PAP dans le contrôle et le suivi des progrès accomplis dans l'adhésion au Protocol de Maputo, ainsi que dans son l'intégration et application au plan national.
De même, les stratégies comprennent le renforcement des capacités, la sensibilisation et la mobilisation des ressources. Dans le domaine du suivi-évaluation du PAP et des parlements nationaux, une attention particulière a été accordée à la discussion sur la cible de 30 pourcent des terres documentées allouées aux femmes d'ici 2025.
Pathé TOURE